AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-55%
Le deal à ne pas rater :
-54% LEGO Brique de rangement 6 tenons
14.99 € 32.99 €
Voir le deal

Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight)

 :: Walnut Creek :: Domaine Clearwater Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : Précédent  1, 2
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
Jessy Voight
Jessy Voight
Messages : 304
RPs postés : 92
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 5b0x
Age : 39
Logement : - C'est ton mari qui avait eu un véritable coup de cœur pour la bâtisse. Certain qu'elle était la maison idéale pour vivre heureux et vieillir sereinement, il a fini par te convaincre. Aujourd'hui, cette maison est la seule chose qu'il te reste de lui, il vit à l'intérieur de ses murs à chaque fois que tu regardes autour de toi, tu le vois en train de bricoler les lieux pour que tout soit parfait et confortable. Tu ignores si tu vas vieillir dans cette maison, mais aujourd'hui, elle est ton foyer, le toit qui met ta fille Léa en sécurité et le quartier Walnut Creek est appréciable.
Occupation : - Autrefois, tu étais policière, mais le train-train de la vie de famille et la balle reçue lors d'une enquête on eut un effet direct sur ta carrière. Tu as choisi d'être une mère, une épouse à temps plein, mais aujourd'hui ta fille est grande, ton mari n'est plus, c'est pourquoi tu t'es reconverti en détective privé et tu excelles dans ton métier, ton ancienne carrière est un plus majeur, tu n'as rien perdu et ta détermination te pousse à aller jusqu'au bout même si pour cela, tu dois te faire des ennemis en chemin. Financièrement, tu n'es pas à plaindre tu t'en sors bien.
Avatar : La queen Katheryn Winnick
Crédits : En général, c'est Cynlis.
MC : Actuellement aucun, mais pourquoi pas dans quelque temps.
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
25.03.23 1:42
Après un long dimanche de travail...
 @Dylan Lewis  & Jessy Voight
Warning --> Décès, deuil.

♬ coup de coeur ---> Louane - Désolé
 - 
Te rendre heureuse, tu ne sais pas réellement si tu le seras complètement à nouveau un jour, mais tu sais que tu n’es pas malheureuse et que tu as tes moments de bonheur ! Maintenant est-ce qu’un jour, tu seras heureuse comme tu as pu l’être dans le passé ? Tu n’en es pas certaine peut-être parce que dans le fond, tu te l’interdis encore par peur de souffrir une nouvelle fois parce que oui, perdre le bonheur rend triste… C’est un peu comme l’amour en réalité. Mais entendre que le jeune homme cherche à te rendre heureuse te touche parce qu’il ne pourrait simplement en avoir rien à faire, mais ce n’est pas le cas, il n’a pas tant changé quand tu le regardes bien, il reste le Dylan adorable que tu as toujours connu, le Dylan qui a bon cœur, qui est gentil et qui donnerait sa chemise aux personnes qui comptent pour lui.

<< C’est bien gentil ça ! Je me sens déjà plus heureuse grâce à toi >>

Tu souris bien entendu que cela ne t’apporte pas une joie immense, mais cette légèreté de conversation, cette ironie t’apporte de l’amusement et cela conduit à la joie et au bien-être alors oui, il contribue à ton bonheur en soi ! Sa présence, son retour tout cela a un impact sur ta vie, il est toujours bon de retrouver d'anciennes connaissances et tu es si contente qu’il soit de retour. Tu lui parles de Trévor et tu fais est qu’il a fait de toi une femme heureuse, une femme comblée malgré les erreurs qu’il a pu faire, vous avez eu vos heures de gloire. Toujours sur la conversation des couples, vous parlez de la jalousie en elle-même et bon, tu as un avis bien à toi, il faut dire que tu aimes la jalousie, mais il ne faut pas qu’elle soit excessive et pour cela, tu avais de la chance avec Trévor, il était correct sauf quand ça parlait de Dylan, mais bon… C’était là une jalousie mal placée, tu l’entends te faire part d’une phrase qui laisse comprendre que c’est du vécu.

<< De l’expérience dans le domaine ? >>

Viens-tu à lui demander en levant un sourcil, tu es un peu curieuse Jessy, il faut dire que le beau Dylan t'intrigue beaucoup et le fait est qu’il soit toujours seul dans sa vie et laisse quelque peu perplexe parce que oui, tu comprends bien qu’il n’a pas trouvé la bonne personne, mais tout de même… Il est foutrement séduisant.
Une fois de plus, tu dérives sur William en fait, tu es un peu maladroite avec le sujet, tu ne saisis pas réellement les choses enfin, si tu comprends tout Jessy seulement, tu as du mal a comprendre qu’on puisse accepter de vivre ainsi, il est un peu en prison et celui qui a les clefs et bien, c’est ce fameux William, tu te demandes si les femmes sont parties à cause de cette relation étrange entre Dylan et son agent… Est-ce que toi, tu pourrais supporter qu’une troisième roue traîne dans le coin continuellement ? Bon sang non !

<< Mais maintenant que tu as vécu ton rêve, tu veux continuer ce rêve ? >>

Demandes-tu avec un regard sincèrement interrogateur, après tout, il a eu son rêve, il l'a touché, consumé, mais maintenant est-ce encore ce qu’il souhaite ? Il arrive parfois qu’une fois qu’on a eu ce qu’on voulait, on passe à autre chose. Heureusement qu’il n’est pas toujours aussi droit que le désir de William autrement, il ne serait pas en prison, mais en enfer…

<< Ta vie ne donne pas envie >> dis-tu en grimaçant avant de rire doucement, il aime sa vie et tu respectes totalement sauf que toi, tu es toujours cette femme au tempérament spontanée alors il t’arrive souvent d’avoir un spasme de joie, d’excitation comme la fois où tu t’es mises à danser dans le rayon de lait avec ta fille enfin dansé est un grand mot, tu as surtout remué les fesses. Mais du coup, tu réalises que ses petits moments de spontanéité, il n’a pas le droit de les avoir… Enfin si, mais il finirait affiché et cela est tout de suite moins plaisant. Cela dit, tu as parfaitement entendu cette histoire de tarte aux pommes et bien que William ne soit pas d’accord, tu reviendras avec cette tarte ! On ne vit qu’une fois, la vie est si courte alors il faut savoir se faire plaisir d’autant plus qu’il n’est pas gros, bon d’accord, tu ne connais pas les régimes pour la voix, mais il se torture… Pourquoi finalement ? Pouvoir chanter sur scène ? C’est très cher payer pour un peu de gloire.

Pokémon et compagnie mis au placard, c’est le sucre sur le coin de tes lèvres qui perturbe le jeune homme, tu fais un geste des plus naturel en lui tendant le visage pour qu’il vienne te le retirer sur le moment, tu ne réalises pas l'ambiguïté du moment et lorsque tu poses tes lèvres au coin de siennes, tu le fais avec envie sans chercher à être raisonnable parce que tu es ainsi, tu es spontanée et la raison, elle ne gagne pas souvent avec toi.
Proche, trop proche de l’un et de l’autre, vous savez tous les deux que vous en avez envie, vous savez tous les deux que ce moment est suspendu dans le temps depuis trop longtemps, tu veux goûter ses lèvres, tu veux qu’il rencontre les tiennes… Quelques mots futiles qui finalement n’ont pas réellement d’importance face à la profondeur de l’instant. Vos lèvres finissent par se trouver et c’est étrange, ce que tu ressens est léger comme une barbapapa, c’est doux et sucré, une douceur que tu n’as pas pour habitude de côtoyer, une douceur effrayante qui te fait peur, mais qui te donne envie d’en découvrir davantage.
Tu prolonges le baiser en quête de découverte, tu veux connaître la saveur et la texture de sa langue, sentir l’arrière goût de “lui” au coin de ta gorge, tu approfondis le baiser Jessy le laissant libre de ralentir la cadence, mais il suit si bien que sa langue toc à la porte de tes lèvres, elle est polie, elle est suave, doucement tu entre ouvres les lèvres afin de lui ouvrir l’accès, ta langue absolument pas farouche par cette venue qu’elle attendait depuis 20 ans rencontre la tiédeur de sa partenaire, tournoyante elles s’apprivoisent, elles se jugent, se testent avant de doucement se lutiner entamant une chorégraphie qui n’appartient qu’a elles. La main qui glisse sur ta joue pour finir son chemin sous ton oreille te fait agréablement frissonner, le baiser, le ballet de langue que vous partagez est enivrant, tu te laisses prendre, tu te laisses apprécier l’instant et tu fronces doucement le centre de ton front sous la sensation que tu ressens et qui parcourt librement ton corps. Alors, c’est ça que l’on ressent lorsqu'on embrasse son béguin d’adolescence, c’est ça qui nous parcourt quand on embrasse Dylan Lewis… C’est loin d’être désagréable ! Très très loin de l’être, c’est même d’ailleurs particulièrement appréciable, agréable si bien que doucement, ta main se pose à plat sur le torse du jeune homme et que tes lèvres restent accrochées aux siennes voulant profiter de ce premier baiser qui se veut incroyablement doux, mais pourtant si profond.
Revenir en haut Aller en bas
Dylan Lewis
membre du mois
Dylan Lewis
Dylan Lewis
Messages : 485
RPs postés : 66
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 Jensen-ackles
Logement : Vit actuellement chez son père, dans le quartier sud de la ville. Le garage, quant à lui, se trouve au centre. Il y vit seul pour le moment, le temps que son père sorte du coma.
Occupation : Il chante depuis qu'il a environ 22 ans. Il a été découvert par son agent à ses 25 ans et a vraiment percé a ses 28 ans. Cela fait maintenant 10 qu'il est connu à travers le pays, voir le monde pour les plus grands fans de rock. Il passe sa vie sur la route. Cependant il va devoir reprendre les rênes du garage de son père ''Lewis&Son" depuis le coma de celui-ci...
Avatar : Jensen Ackles
Crédits : Neverland
Dylan Lewis
membre du mois
25.03.23 22:03

Je suis vraiment désolé...

Je la regarde, un peu surpris, lorsqu’elle me dit qu’elle est déjà un peu plus heureuse grâce à moi parce qu’au fond… Je n’ai pas l’impression d’avoir fait quoi que ce soit. Je veux dire : je suis parti il y a 20 ans sans dire quoi que ce soit à qui que ce soit… Je n’ai jamais repris contact… Je reviens sans prévenir personne et finalement je la fais se faire afficher dans un magazine people et bon… Même si cette dernière partie je n’ai vraiment aucun contrôle dessus pour du reste… Je dirais que la seule bonne chose que l’on pourrait dire que j’ai fais c’est ces beignets, non ? En tout cas, c’est ainsi que je le pense.

-Ah bon ?

C’est sorti tout naturellement, la surprise toujours affiché sur mon visage. J’en suis intimement convaincu… Je n’ai pas fais grand chose pour la rendre heureuse tout au long de sa vie, malheureusement… Ou alors peut-être de façon inconsciente avec ma musique ? Je ne sais pas, mais… Tout ce que je sais c’est que Trévor lui, il a visiblement assuré ou je pense, moi, avoir foiré. Mais totalement d’ailleurs. De toute façon, j’ai toujours tout foiré niveau relation et pas seulement amoureuse, amicale et même celle avec mon père… Forcément ce que je laisse sous-entendre l’intrigue et je me mords légèrement l’intérieur de la joue avant de la regarder en hochant un peu la tête.

-J’avouerais être… Jaloux… Ce n’est pas forcément un trait de mon caractère que j’aime, mais je peux l’être, de façon très idiote en plus c’est débile ! Mais on le sait souvent après...

Et je me dis que c’est sûrement pour ça que certaines relations n’ont pas tenues. Du fait d’avoir toujours été un peu timide de m’être forgé cette carapace de mec sûr et bien… La jalousie a pu me gagner quelques fois oui… Et en parlant de gagner… Elle me demande si j’ai toujours envie de le faire ce rêve maintenant que je l’ai goûté depuis un peu plus de dix ans, parce que ouai… J’ai pas percé de suite, j’ai galéré un moment quand même avant que William ne m’ouvre des portes. Je souris alors à Jessy.

-Bien sûr… Je ne me verrais pas faire autre chose de toute façon. Tu vois là… Depuis que mon père est… Enfin tu vois quoi… J’aide au garage, forcément, mais… Ouai…

Je finis dans un soupire, montrant là que ce n’est pas ce qui m’anime réellement.

-Ça ne me fait pas vibrer comme la scène. Peut-être qu’un jour j’en serais lassé, mais ce jour n’est pas aujourd’hui…

Même si je dois avouer que cette « pause » forcée est tout de même bénéfique. Bon certes plus à moi qu’à William, mais que voulez-vous ! Je la regarde en penchant légèrement la tête sur le côté lorsqu’elle m’avoue que ma vie ne lui donne pas envie.

-Ah bon ? À cause du côté fliqué ou c’est encore autre chose ?

C’est sûr que ce n’est pas la vie rêvée de tout le monde, même s’il y a certains aspects de ma vie plutôt cool : déjà faire un métier que tu rêves et dont tu n’as pas l’impression de travailler et ensuite l’argent, de nos jours c’est non négligeable quand même ! Cependant, je peux comprendre que plein d’autres aspect n’attirent absolument pas.

Et en parlant d’attirance… Il ya forcément ce « petit truc » depuis que j’ai revu Jessy il y a maintenant quelques jours… Ce petit truc qui était visiblement présent il y a déjà 20 ans, mais qui n’avait jamais été plus loin tout simplement parce que comme on vient de le dire : il y avait eu de l’idiotie dans l’air. De sa part, de ma part… Je dirais qu’on a été un beau combo gagnant, non ? Je n’ai jamais osé, elle ne l’a jamais osé non plus et lorsqu’elle a eu plus de courage que moi pour le faire… J’avais pris le mien pour partir. Pour vivre autre chose… Alors ce baiser… Il a le goût de la nostalgie, mais pas dans le sens où on redécouvre une sensation… Parce que nous ne nous étions jamais embrassés, plutôt de nostalgie parce que je sens, redécouvrir, des sensations que Jessy a pu me faire ressentir adolescent. Est-ce que d’ailleurs cela aurait été pareil ? Je n’en sais rien et j’avouerais ne pas avoir envie de penser trop à l’heure actuelle. Je préfère graver chaque seconde dans ma mémoire, profiter de chaque instant, sensation, goût… Comme si tout ça pouvait être la première et la dernière fois. Bien évidement que mon coeur s’emballe légèrement lorsque sa main touche mon torse et le morceau de tissu qui sépare sa peau de la mienne j’ai l’impression d’en ressentir toute la chaleur, je me rapproche même légèrement d’elle, mais rompt tout de même le baiser par manque de souffle. Malheureusement, c’est une fonction que l’être humain ne possède pas encore : le souffle infini. Je serais presque essoufflé de ce moment suspendu et attendu depuis si longtemps et c’est sans quitter notre position que je souris finalement légèrement en reprenant sur un ton assez bas, comme si je voulais qu’elle seule dans cette maison puisse l’entendre, qu’aucun meuble, qu’aucun objet ne puisse le faire et qu’aucune oreille indiscrète non plus.

-Je confirme… Il a vraiment été très idiot il y a 20 ans...


@Jessy Voight  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990
black pumpkin
Revenir en haut Aller en bas
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
Jessy Voight
Jessy Voight
Messages : 304
RPs postés : 92
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 5b0x
Age : 39
Logement : - C'est ton mari qui avait eu un véritable coup de cœur pour la bâtisse. Certain qu'elle était la maison idéale pour vivre heureux et vieillir sereinement, il a fini par te convaincre. Aujourd'hui, cette maison est la seule chose qu'il te reste de lui, il vit à l'intérieur de ses murs à chaque fois que tu regardes autour de toi, tu le vois en train de bricoler les lieux pour que tout soit parfait et confortable. Tu ignores si tu vas vieillir dans cette maison, mais aujourd'hui, elle est ton foyer, le toit qui met ta fille Léa en sécurité et le quartier Walnut Creek est appréciable.
Occupation : - Autrefois, tu étais policière, mais le train-train de la vie de famille et la balle reçue lors d'une enquête on eut un effet direct sur ta carrière. Tu as choisi d'être une mère, une épouse à temps plein, mais aujourd'hui ta fille est grande, ton mari n'est plus, c'est pourquoi tu t'es reconverti en détective privé et tu excelles dans ton métier, ton ancienne carrière est un plus majeur, tu n'as rien perdu et ta détermination te pousse à aller jusqu'au bout même si pour cela, tu dois te faire des ennemis en chemin. Financièrement, tu n'es pas à plaindre tu t'en sors bien.
Avatar : La queen Katheryn Winnick
Crédits : En général, c'est Cynlis.
MC : Actuellement aucun, mais pourquoi pas dans quelque temps.
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
25.03.23 23:30
Après un long dimanche de travail...
 @Dylan Lewis  & Jessy Voight
Warning --> Décès, deuil.

♬ coup de coeur ---> Louane - Désolé
 - 
Il semble surpris de ce que tu viens d’avouer, il est vrai qu’il n’a pas fait grand chose, mais parfois il n’est pas nécessaire de faire beaucoup pour qu’on ressente cette sensation de joie nous envahir et toi, tu l’as ressenti cette sensation quand ton regard c’est posé sur lui l’autre jour au marché, quand tu as ouvert la porte et que tu as découvert les beignets de votre enfance, quand il t’a invité à entrer chez lui. Des petites choses qui ne donnent pas l’impression d’être importantes et pourtant, elles le sont véritablement.

<< Tu sembles surpris, tu sais le bonheur ne se cache pas dans les grosses intentions. Le fait est de te revoir me rend heureuse, ça me fait plaisir Dylan, tu m’as manqué quand tu es partit j’ai eu l’impression que le sol s’écroulait sous mes pieds, on était vachement proche et j’ai perdu l’un de mes meilleurs amis lors de ton départ alors oui, je suis contente de te revoir, de voir que tu vis bien et de lire sur ton visage que ta vie t’a apporté tout ce que tu voulais juste pour ça je suis heureuse >>

Heureuse du bonheur des autres, c’est là qu’on reconnait une bonne personne et pourtant tu ne penses pas être une bonne amie parce que dans le fond toi aussi tu aurais pu chercher à le retrouver plutôt, tu aurais pu le rejoindre sur les routes, te payer un pass horriblement cher pour aller dans les coulisses le rejoindre après un concert, tu le sais Jessy tu as simplement rayé son nom de ta vie quand il est partit sans te le dire à cause de la douleur, de la colère sur le moment et avec le temps et bien ta vie n'avait plus besoin de lui, tu avais appris à vivre sans lui, mais le revoir ouvre cette porte que tu avais fermé il y a bien longtemps et tu réalises qu’en réalité il a toujours fait partit de ta vie.

<< Bon et les beignets bien entendu y sont pour quelques choses aussi >>

Ajoutes-tu avec légèreté totale, ce n’est là que de l’humour parce que tu le sais les beignets ce qu’est détail, détail qui pourtant te touche parce qu’il a fait l’effort de se déplacer, de demander juste pour se faire pardonner d’une catastrophe qui n’est pas de sa faute. Ce qu’il te dit, de la façon dont il parle de cette histoire de jalousie, tu comprends qu’il parle avec expérience et maintenant tu veux en savoir plus chose qui est totalement normal après tout, tu as toujours été curieuse et cela n’as pas changer alors tu lui demandes et il t’avoue être jaloux, tu le conçois tu es toi même jalouse, mais tu penses qu’il y a une façon de l’être et qu’il ne faut pas aller dans l’extrême.

<< Genre tu as déjà été jaloux parce que l’une de tes petites amies discutait avec un homme ? >>

Tu cherches là à savoir ce qu’il entend par être jaloux parce que bon, tu admets sans souci que s’est un sentiment normal qui est mine de rien relié à la peur de perdre l’autre et cela est beau, mais être libre et avoir une confiance aveugle en son ou sa partenaire est encore plus beau alors quel genre d’homme est Dylan Lewis ? Est-il le genre d’homme à ne pas supporter que celle qui détient son cœur entre les mains côtoie amicalement d’autres hommes ? Toujours dans la curiosité de la découverte, tu viens à lui demander si le rêve qu’il avait en partant il y a vingt ans est toujour aussi enivrant et il te répond avec une sincérité profonde et tu comprends que sa vie ne sera jamais a Blue Valley, il est un baroudeur qui prend les routes du monde pour monter sur scène, il est cet homme qu’il a toujours voulu être et cela te rend heureuse, mais à la fois triste parce qu’il finira par repartir. Tu finis par lui dire que sa vie ne te donne pas envie et tu ne mens pas, il est vrai qu’il a la célébrité, il a l’argent, mais finalement à tes yeux il n’a rien et tout ce qu’il a n’a absolument aucune valeur… C’est là qu’est votre différence, différence qui vous a fait prendre deux chemins différents il y a vingt ans, tu ne vois pas la vie du même regard que lui.

<< Totalement, je suis le genre de femme à vivre sur l’instant alors si d’un coup en plein milieu de mes courses j’ai envie de sauter sur le caddie comme une gamine de cinq ans et bien je le ferais et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres alors avoir continuellement peur de ne pas pouvoir être celle que je suis sous peine d’être exposer, je ne pourrais pas, je me sentirais emprisonner et quand je t’écoute j’ai l’impression que tu es en prison >>

Tu pinces doucement tes lèvres puis tu reprends avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit << Je comprends parfaitement que ce soit un choix de vie et je te jure que je respecte, mais on ne vit qu’une fois… Ta tartes aux pommes tu ne vas pas l’emmener dans ta tombe, c’est maintenant qu’il faut savoir profiter de l’instant, maintenant qu’il faut respirer un plein poumon parce que plus tard il sera simplement trop tard >> tu le regardes et tu ajoutes << Tu aimes ta vie et c’est là le plus important et je suis contente pour toi, mais avec ma personnalité je ne pourrais pas être continuellement attacher, surveiller, je préfèrerais tout perdre et être libre que de me sentir étouffer par une société qui ne me correspond pas >> tu t’expliques Jessy, tu ne le juges pas, tu comprends sa vie; mais tu comprends aussi que vous êtes bien différents si différents qu’une part de toi se dit qu’entre vous ça n’aurait jamais coller.

Pourtant malgré que tu aies conscience de cette différence qui vous sépare, de cette vision du monde qui fait de vous deux contrastes, tu sens cette attirance, cette envie de connaître ce que tu as loupé il y a vingt ans.
Il ne vous aura pas fallu grand chose pour vous rapprocher, un peu de sucre et une ambiance juste à vous et c’est là toute la simplicité du moment que tu aimes, le genre de liberté que tu aimes t’offrir et qui ne regarde personne, qui ne mérite aucun jugement.

Vos lèvres finissent pas se rencontrer et sur le moment, tu n’en saisis pas bien les premières saveurs, il te faut un petit temps pour enfin ressentir l’arôme de ses lèvres, est-ce dû à ses vingt années de patience ? Peu importe, vous venez de faire le pas que vous n’aviez pas eu le courage de faire à l’époque et ton corps a présent conscient des notes savoureuses qu’il te partage frisonne. Tu as bien souvent dans le passé imaginer le goût de ses lèvres, de la douceur qu’elle avait et de ce que tu aurais pu ressentir à leurs contacts, tu étais à côté de la plaque Jessy parce que tout ce que tu ressens maintenant que ce moment est bien vivant ne ressemble en rien à ce que tu as pu t’imaginer, c’est si prenant, succulent.

Sa main jouant avec les mèches de tes cheveux qui frôle ton cou fait vivre et revivre les frissons qui parcourent ton corps, ta main se pose sur son torse à plat elle ne se fait pas désinvolte, elle reste à sa place, discipliné par la profondeur de l’échange que vous partagez, le centre de ton front légèrement plissé par le plaisir que tu ressens, par l’apothéose qui exalte ton palpitant, tu laisses ta langue câliner la sienne, ce n’est pas une attirance physique qui vous appelle, ce n’est pas un moment bestiale qui vous éprend, non c’est une nuance Mezzo forté, c’est doux, mais fort à la fois.

A contre coeur, vos lèvres se quittent afin de permettre à vos bronches de reprendre une respiration suffisante pour alimenter vos corps respectifs pourtant, vous ne vous éloignez pas, tes yeux s'ouvre doucement plongeant directement dans la profondeur de ses iris, endroit ou tu pourrais te laisser te noyer. A la limite d’un murmure, il prend la parole pour confirmer qu’il a été foutrement idiot il y a vingt ans, tu souris doucement sans prendre de recule, tu reste proche et ta main est toujours présente sur son torse.

<< Je ne peux qu’être d’accord >>

Petit rire qui se glisse et reflète en écho sur les lèvres du jeune homme, tu laisses remonter ta main venant la poser sur la barbe du brun et doucement tu ajoutes.

<< Elle manquait de courage, mais ce n’est plus le cas >>

Dis-tu doucement en parlant de toi, tu plaques tes lèvres sur celle du jeune homme comme pour dépasser le manque de courage que tu n’as pas eu lorsque tu étais plus jeune, tu ne sais pas après quoi tu cours Jessy, est-ce une course à la nostalgie, une course aux temps ou simplement une course à l’avenir, tu n’en as pas la moindre idée, mais tu sais que tu aimes le gout de tes lèvres sur les siennes.
Revenir en haut Aller en bas
Dylan Lewis
membre du mois
Dylan Lewis
Dylan Lewis
Messages : 485
RPs postés : 66
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 Jensen-ackles
Logement : Vit actuellement chez son père, dans le quartier sud de la ville. Le garage, quant à lui, se trouve au centre. Il y vit seul pour le moment, le temps que son père sorte du coma.
Occupation : Il chante depuis qu'il a environ 22 ans. Il a été découvert par son agent à ses 25 ans et a vraiment percé a ses 28 ans. Cela fait maintenant 10 qu'il est connu à travers le pays, voir le monde pour les plus grands fans de rock. Il passe sa vie sur la route. Cependant il va devoir reprendre les rênes du garage de son père ''Lewis&Son" depuis le coma de celui-ci...
Avatar : Jensen Ackles
Crédits : Neverland
Dylan Lewis
membre du mois
26.03.23 22:10

Je suis vraiment désolé...


En effet, je semblais surpris parce que je l’étais. Je n’avais pas fait grand chose, en tout cas pas qui me justifiait de l’avoir rendu heureuse… Et ça elle l’avait bien remarqué. De toute façon, je m’en exclame et rapidement elle m’explique que le fait que je sois revenu est une raison pour la rendre heureuse, je souris parce qu’au fond… C’est vraiment mignon de dire ça et ça me touche vraiment fort, surtout que comme elle le dit… Je suis parti sans penser à toutes les conséquences que cela pouvait avoir, notamment sur son coeur…

-Je sais que ce jour-là j’ai été très égoïste, mais j’étais tellement en colère contre mon père, ma... Génitrice et la vie que… Je n’ai juste pas réfléchir, mais…

Je marque une petite pause avant de sourire finalement un petit peu en la regardant.

-Ça me fait plaisir de te revoir aussi Jessy… Même si je ne t’ai jamais recontactée… Je ne t’ai pas oublié pour autant et j’en ai même cassé les pieds à William quelques fois…

Bien sûr que je n’avais pas oublié d’où je venais ! Même lorsque j’étais en froid avec mon père… Je ne pourrais jamais. Je pense que dans un sens cela m’a même forgé, pas parce que les habitants ne me donnaient pas envie d’y retourner, bien au contraire, mais parce que je voulais prouver à tout le monde que je n’avais pas fais la plus grosse erreur de ma vie en claquant tout… Au détriment de bien des coeurs. Ça je sais que je m’en voudrais toujours un peu. Cependant mon sourire devient plus grand lorsqu’elle ajoute que les beignets y sont aussi pour quelque chose.

-Je me disais aussi !

Je ris alors un peu avant que le sujet ne redevienne un peu plus sérieux. C’est ça qui est fou entre la jolie blonde et moi aussi… Nous passons du coq à l’âne, on rattrape le passé et on découvre l’avenir, tout en même temps dans une simple conversation. On pourrait pourtant avoir fait le tour la dernière fois, mais non… On en découvre encore. Je me mords légèrement la lèvre inférieure cherchant mes mots… Avant de rire un peu, comme gêné.

-J’avoue qu’une fois ça m’est arrivé, bon c’était complètement con et on était à une fête donc l’alcool était présent aussi. Mais sinon non, pas à ce point… Sauf si le mec démontre bien son intérêt ou est déplacé… Là ouai…

Bien évidement que ma copine peut se défendre seule, bien que cela dépend des femmes, mais à un moment donné… Le mec me prend pour un con en fait… Donc j’y vais.

-Mais bon ! Je dois aussi avouer que je l’étais d’avantage plus jeune…

Même si j’étais vraiment très timide, cela ne m’empêchait pas d’être vraiment très jaloux aussi ! Avec les années, on change, on mûrit, on s'assagit… Enfin presque ! Je veux toujours bel et bien voir Jessy danser pour moi… Mais avant ça, elle m’avoue ne pas envier ma vie. Je l’interroge à ce sujet et elle m’en explique les raisons… Je réfléchis un instant, regardant vers le sol et buvant un peu de bière avant de reprendre avec un petit sourire.

-Je vois parfaitement ce que tu veux dire… Bon alors tu connais ta mission ? Trouver les clés de ma prison !

Lançais-je comme ça, soudainement, sans réellement réfléchir aux conséquences de ma demande, sans réellement réfléchir à si je suis réellement en prison. Cependant j’aimais bien lui lancer quelques défis à l’époque et c’est toujours le cas aujourd’hui. Est-ce que tout cela fait de nous des personnes radicalement trop opposées ? Je ne pense pas. Je ne dirais pas que je suis continuellement sur les routes, comme au début de ma carrière. Je peux être posé pendant des mois et partir uniquement pour les tournées qui fort heureusement ne sont pas toutes les années… Cela dépend des sorties d’album. De toute façon, plusieurs chanteurs, voire chanteuses, ont des vies bien posées, bien tranquilles cela n’empêche en rien. Mais il est vrai que je peux parfaitement comprendre ce qu’elle veut me dire et au fond… Elle semble vraiment triste pour moi. Enfin… Triste n’est peut-être pas le mot, mais elle se fait du soucis et cela me touche.

Et ce n’est pas que son inquiétude qui me touche… Bientôt ce sont ses lèvres qui touchent les miennes, sa langue qui virevolte avec la mienne dans une tourbillon de sensation, d’envie, de non-dit, d’attente… Un cocktail explosif en soit qui fait que mon coeur n’est pas tout à fait calme, forcément... Il y a un millions de chose qui traversent mon esprit et en même temps c’est comme le trou noir le plus total.

C’est donc cela l’attente d’un baiser de presque 20 ans ? Un instant pourtant bien trop court à mon goût, mais dont je suis obligé de mettre fin puisque le souffle va finir par nous manquer. Je ne m’en éloigne pas pour autant… C’est comme si maintenant que nous avions commencé, je n’avais pas du tout envie de m’arrêter… Et je lui avoue d’ailleurs ce que je pense « de cet homme idiot », je souris à ce qu’elle me répond. Un sourire sincère, amusé et grand, lorsque j’entends son petit rire. Ce rire que j’ai toujours adoré provoquer tandis qu’elle remonte sa main au niveau de ma barbe me parlant alors du courage « de cette femme » qui en manquait, mais… Qui n’en manque plus. En une fraction de seconde, voilà que nos lèvres se retrouvent de nouveau, mon sourire reste un instant sur mes lèvres et c’est beaucoup moins timidement que nos langues se retrouvent de nouveau, ma main se glisse cette fois au niveau de sa hanche, l’attirant alors sur moi et sans rompre ce baiser beaucoup moins timide, mais tout aussi agréable, je passe mes bras autour de sa taille fine, comme pour la coller d’avantage à moi dans cette nouvelle position où la proximité règne en maitre.

@Jessy Voight  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990
black pumpkin
Revenir en haut Aller en bas
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
Jessy Voight
Jessy Voight
Messages : 304
RPs postés : 92
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 5b0x
Age : 39
Logement : - C'est ton mari qui avait eu un véritable coup de cœur pour la bâtisse. Certain qu'elle était la maison idéale pour vivre heureux et vieillir sereinement, il a fini par te convaincre. Aujourd'hui, cette maison est la seule chose qu'il te reste de lui, il vit à l'intérieur de ses murs à chaque fois que tu regardes autour de toi, tu le vois en train de bricoler les lieux pour que tout soit parfait et confortable. Tu ignores si tu vas vieillir dans cette maison, mais aujourd'hui, elle est ton foyer, le toit qui met ta fille Léa en sécurité et le quartier Walnut Creek est appréciable.
Occupation : - Autrefois, tu étais policière, mais le train-train de la vie de famille et la balle reçue lors d'une enquête on eut un effet direct sur ta carrière. Tu as choisi d'être une mère, une épouse à temps plein, mais aujourd'hui ta fille est grande, ton mari n'est plus, c'est pourquoi tu t'es reconverti en détective privé et tu excelles dans ton métier, ton ancienne carrière est un plus majeur, tu n'as rien perdu et ta détermination te pousse à aller jusqu'au bout même si pour cela, tu dois te faire des ennemis en chemin. Financièrement, tu n'es pas à plaindre tu t'en sors bien.
Avatar : La queen Katheryn Winnick
Crédits : En général, c'est Cynlis.
MC : Actuellement aucun, mais pourquoi pas dans quelque temps.
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
28.03.23 1:04
Après un long dimanche de travail...
 @Dylan Lewis  & Jessy Voight
Warning --> Décès, deuil, relation charnel.

♬ coup de coeur ---> Louane - Désolé
 - Beaucoup de personnes pensent que tu es une femme complèxe, le genre de bimbo qui demande la lune pour être heureuse, tu sais que tu dois cela à ton visage autrefois angélique et la couleur blé de tes cheveux, tu es ou étais le stéréotype de la barbie sauf que tu n’as jamais été ce genre de femme. Il se dit que les apparances sont parfois trompeuse, que l’habit ne fait pas le moine et bien c’est ton cas, tu es le genre de femme qui aime les choses simple d’ailleurs la simplicité te represente parfaitement, tu fuis littéralement tout ce qui est comestique femme si bien que tu ne mets pas de crême pour ne pas vieillir, tu alimentes ta peau d’aloe verra uniquement, tu ne cautionne pas le maquillage qui déforme une personne au point qu’elle soit méconnaissable, tu n’as jamais été ce genre de blonde et jamais tu ne le deviendras, bien sur il t’arrive de te mettre d’avantage sur ton trente et un, mais c’est pour une occasion, un moment autrement tu es simplement toi sans faux semblant. Et tu fonctionne pareil avec le bonheur, tu n’as pas besoin d’avoir tout et n’importe quoi, toi tu trouves le bonheur dans les choses simples de la vie et c’est probablement pour cela que tu n’as pas quitter la ville, tu as su trouver en Blue Valley des merveilles qui ont comblée ton palpitant de bien des façons.

Il est surpris de te savoir heureuse face à son retour, aurais-t’il oublier les valeurs, les principes que tu défends depuis toujours ? C’est dans les choses simples que se cache le bonheur et son retour est une chose simple. Tu l’entends s’expliquer, il ne te doit rien, il ne doit d’ailleurs rien à personne excepté peut être son père, mais se sujet là ne te regarde pas alors tu ne rentres pas dedans.

<< Je comprends Dylan… Vraiment… Puis comme j’ai pu te le dire, partir t’a réussi alors c’est que tu as fait le bon choix. >>

Petit sourire amicale, mais surtout bienveillant tu es heureuse de le voir épanouie, heureuse de voir quel homme il est devenu, il est vrai que tu aurais apprécier le revoir dans d’autres circonstances, mais l’important n’est pas là, ce qui compte aujourd’hui c’est qu’il soit de retour et ceux peu importe la raison.

<< Ah oui ? Et que disais-tu sur moi ? >>

Maintenant qu’il vient de t’avouer avoir parler de toi, tu veux savoir ce qu’il disait d’autant plus que toi et bien tu entends beaucoup parler de ce fameux William et tu te demandes maintenant ce qu’il pense de toi… Il ne te connais pas c’est vrai, mais toi non plus tu ne le connais pas pourtant cela ne t’empêche pas d’avoir déjà un avis plus ou moins tranché sur l’homme qui dirige la vie de Dylan. Tout naturellement, tu ajoutes que les beignets ont apporté une touche de bonheur et on donc participer à te rendre heureuse, tu vois son sourire s'agrandir et le tien en fait de même. Le sujet prend une nouvelle tournure, mais cela ne te dérange pas, tu aimes cette facilité verbale que tu as avec le jeune homme, vous parler de la jalousie et tu mets le doigt sur un quelque chose que tu souhaites maintenant comprendre, il s’ouvre à toi et avoue une erreur passé, tu le regardes attentivement pinçant doucement tes lèvres et ton regard se fait envahir d’un voile qui signale que tu es désolé pour lui parce oui Jessy, tu sais que la personne qui a vécu cette jalousie a souffert, mais tu sais que lui aussi… Comment sais-tu cela ? Simplement parce qu’il arrive à tout le monde de faire une erreur et toi aussi, tu as déjà été jalouse stupidement, enfin toi c'était davantage un message d’une cliente sur le portable privée de ton mari… Tu n’avais pas apprécié, mais les choses s'étaient arrangées, Trévor avait su te remettre à ta place et calmer ta jalousie puissante. Parce que parfois, c’est de ce genre de contact que tu as besoin, surtout quand tu t’emportes dans une spirale qui n’est saine ni pour la personne qui partage ta vie, ni pour toi.

<< En même temps, c’est assez légitime dans ce genre de situation je pense. J’ai fait une crise une fois à Trévor, mais il avait reçu un texto assez étrange d’une cliente, je suis partie en vrille véritablement, il m’a fait remettre les pieds sur terre rapidement alors même si cette sensation date d’il y a des années maintenant, je sais ce que sait de souffrir d’un pique de jalousie et bon ça peut arriver à tout le monde. >>

Après tout, vous n’êtes que des humains qui ne cessent d’apprendre chaque jour, toi la première ! Il était donc davantage jaloux quand il était plus jeune, tu te demandes maintenant si c’est ton cas ? Tu n’es pas certaine de cela, il faut dire que tu te contrôles un peu plus qu’avant, mais tu es toujours cette bombe à retardement qui peu exploser à tout moment et ceux peu importe le sujet c'est d’ailleurs pour cela que tu as besoin d’un homme avec un tempérament de feu, un homme qui est en mesure de mettre ses mains sur tes épaules et de te secouer en te disant d’arrêter, un mâle qui n’hésitera pas a usé d’une vulgarité déconcertante pour que tu fermes ta bouche quand elle s’aventure sur une chemin trop épineux, un partenaire qui à tout moment te colle contre lui et t’empêche de bouger pour que tu te calmes, un pilier qui encaisse sans difficulté les coups que tu pourrais avoir besoin de lui donner pour soulager cette tornade qui te ravage sans aucune pitié.

Continuant sur cette lancée, tu parles de sa vie et du fait qu'elle ne te plairait pas, tu es franche d’ailleurs il faudrait parfois que tu apprennes à la fermer, mais ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire la grimace… Il accepte tes mots et tes idées concernant sa vie puisqu’il souligne qu’il comprend ce que tu veux dire par contre ce qu’il ajoute te surprend quelque peu.

<< Ne me demande pas ce genre de chose Dylan, tu sais bien que je suis capable de défoncer tout ce qui se trouve sur mon chemin, tous les obstacles afin de parvenir à ses clefs >>

Tu en es capable pour lui, pour cet homme qui est un ami de longue date, un ami avec qui la nostalgie est grande, oui pour lui tu partirais en mission suicide si cela garantisais son bonheur. Regard sincère, mais grave à la fois tu ne penses pas qu’il réalise la conséquence de ses paroles, toi ce n’est pas des mots que tu prend à la légère même si pour cette fois-ci tu feras comme si cette phrase n’avait pas été dite parce qu’il t’a dit être heureux, mais si demain il venait à te demander de l’aide sous cette forme alors tu attaquerais chaque montagne, chaque nid de poule, chaque perturbation afin de venir en aide à celui qui a conquis ton coeur il y a vingt ans maintenant.

Dylan Lewis restera Dylan Lewis à tes yeux et ceux quoi qu’il puisse se produire, tu auras toujours cette affection unique à son égard, il est la douceur d’un passé, la mélancolie d’un regret, la tendresse d’une jeunesse épanouie, tu t’es construite à ses côtés, tu as forgé tes éclats de rire en sa compagnie, il fera toujours partie de toi peu importe la noirceur qui vous encercle, il aura sa place dans ton coeur peu importe les ténèbres qui vous dévorent. Ton coeur d’ailleurs s’énivre d’une adulation qui ne t’est pas familière, c’est le goût de ses lèvres sur les siennes qui comble ton palpitant, c’est la douceur de ses lippes qui crée une agitation palpable aux creux de ton estomac, ce baiser tu l’as attendu, tu l’as imaginé, tu l’as rêvé, tu l’as tant désiré… Mais avec le temps, tu t’étais fait une raison pensant cela totalement impossible alors tu avais enterré cette envie, tu avais usé de toute tes forces pour mettre en terre se béguin d’adolescent, tu pensais qu’il avait fini par agoniser, mais il n’a fallu qu’un frôlement de ses lèvres pour ressusciter ce que tu as passé des années en enfouir, qu’une caresse pour réanimer ce que tu pensais anéanti.

Vos lèvres affamé l’une de l’autre viennent à se séparer afin de respirer à vive haleine, tu l’entends, tu ne peux résister à lui sourire, tu ne peux contenir une surenchère qui parle de toi, de celle que tu étais autrefois, tu aurais pu faire les choses différemment, tu aurais pu être plus courageuse et tout lui avouer plutôt, mais tu n’étais qu’une gamine apeuré par ce qu’elle ressentait pour son ami, la peur de le perdre te paralysait, mais aujourd’hui tu n’es plus cette fille, pour l’heure tu es une femme qui assume ses envies, ses désirs même si tu ignores ce que tu veux au plus profond de toi, ni même après quoi tu cours, mais ce qui est sûre c’est que tu fonces, tu ne t’arrêtes pas si bien que tes lèvres se plaquent contre celle du brun, vos langues qui viennent a peine de faire connaissance s’entremêlent avec une avidité qui déverse un besoin de rattraper ce que vous avez louper. La main du jeune homme glisse sur ta hanche, une pression en ressort, il t’attire, il t’entraine contre lui, une demande que tu ne lui refuse pas, tu désires cette proximité tout autant que lui alors tu te redresses, tu glisses tes jambes de part ses côtés de manière à enfourcher sa silhouette. Sur lui, tu te complais à bécoté ses lèvres avec exagération, ton souffle te joue des siennes, tu mets tes poumons à l’épreuve, ils te brûlent, mais tu ne veux pas quitter ses lèvres, tu ne veux pas cesser de ressentir cette résurrection dans ta poitrine, tes deux mains se calent sur les joues du jeune homme alors que tu l’embrasses avec hâte, ton corps se presse contre le sien tandis que tes bronches t’alerte de leurs défaillance. Sur le point de pâlir par manque d’oxygène, tu romps le baiser endiablé que vous partagez depuis de longues minutes pour offrir aumône à tes poumons.

Tes saphirs plongée dans ses émeraudes, tu admires la brillance de ses pupilles, la probité de son regard, tu cilles des yeux pendant que tes pouces caresses les bras du jeune homme, tu pourrais lui sauter dessus telle une bête assoiffé du nectar trop longtemps convoité, mais ce n’est pas de ça dont tu as envie, sans assimiler pourquoi, c’est d’une autre sorte d’affection, de désir qui te sillonne, tu ne veux rien gâcher, rien précipiter, vous avez tant attendu, tant perdu pour être là où vous en êtes, il serait dommage de calciné cet instant en se précipitant. Tu veux entendre, percevoir chacune de ses réactions, la friction de sa peau et de la tienne, saisir l’instant du bout de tes doigts pour pouvoir à jamais le choyer.

Revenir en haut Aller en bas
Dylan Lewis
membre du mois
Dylan Lewis
Dylan Lewis
Messages : 485
RPs postés : 66
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 Jensen-ackles
Logement : Vit actuellement chez son père, dans le quartier sud de la ville. Le garage, quant à lui, se trouve au centre. Il y vit seul pour le moment, le temps que son père sorte du coma.
Occupation : Il chante depuis qu'il a environ 22 ans. Il a été découvert par son agent à ses 25 ans et a vraiment percé a ses 28 ans. Cela fait maintenant 10 qu'il est connu à travers le pays, voir le monde pour les plus grands fans de rock. Il passe sa vie sur la route. Cependant il va devoir reprendre les rênes du garage de son père ''Lewis&Son" depuis le coma de celui-ci...
Avatar : Jensen Ackles
Crédits : Neverland
Dylan Lewis
membre du mois
29.03.23 12:23

Je suis vraiment désolé...


J’ai énormément de souvenirs ici, particulièrement avec elle, la bande… Même si on s’est surtout rapprochés adolescents et qu’on était vraiment le groupe «  à être ami avec » , on a toujours été amis. Bon il y a eu des ajouts au fils des années et des départs… Aujourd’hui d’ailleurs je sais que l’on est peut-être tous un peu explosé, on a chacun nos vies, mais Jessy semble avoir gardé contact avec tout le monde, ou du moins de ce que j’avais compris la dernière fois, lors de nos retrouvailles lorsqu’on en a parlé rapidement. Moi ? Pas vraiment, mais ça elle est la première au courant, Léandre je sais plus ou moins qu’il était encore vivant uniquement, car il m’a contacté lui il y a quelques années et depuis c’était le néant. Cela était limite plus comme une conversation gênante de deux personnes qui n’auraient rien à se dire… Cela n’a pas été directement comme avec Jessy, mais déjà à l’époque la jolie blonde et moi n’entretenions pas le même rapport ensemble que vis-à-vis des autres. Je me mords légèrement la lèvre inférieure lorsqu’elle me redit qu’elle a compris, qu’elle pense aussi que j’ai fais le bon choix et ma tête se hoche simplement. Je ne vais pas revenir là-dessus et surtout… Ce n’est pas cette partie-là qui semble l’avoir la plus intriguée ou en tout cas accrochée… Elle m’en demande plus sur ce que j’ai pu dire à William. Je souris alors, de nouveau joueur.

-C’est des informations confidentielles et précieuses ça ! Qu’ai-je en retour ?

Ce n’était pas d’ordre de vie ou de mort non plus et cela la concernait, mais j’aimais bien la taquiner. J’ai toujours aimé le faire et l’âge ne m’a pas assagi à ce niveau-là. Dès que je le peux, je le fais, comme si je courrais après le temps qui nous a filé entre les doigts. Il ne nous a d’ailleurs pas filé entre les doigts de façon inutile parce qu’on a quand même eu de bonnes vies elle et moi et puis… On n'a pas 60 ans non plus, mais il faut avouer que 20 ans ce n’est tout de même pas rien dans la vie d’un humain. Si tu es enfant, tu as le temps de devenir adulte, si tu es adolescent, tu as le temps d’atteindre la « crise de la quarantaine » et si tu es quarantenaire, tu sera plus proche de la fin que du début 20 ans plus tard…

La vie ça file, se faufile, il y a une tonne de choses qui peut arriver à une seconde d’intervalle. C’est tout simple : je serais venu au marché quelques secondes avant, ou après, nous ne nous serions certainement jamais re-croisés parce que je n’ai pas fait grand étalage de mon retour, même si maintenant ce magazine s’en est chargé. D’ailleurs, tout ça conduit à en apprendre plus, au final, sur nous. On se connaît déjà pas mal, mais il y a tout de même 20 ans de vie à rattraper, ce sont des petites choses comme : la jalousie. Cela peut changer au cours d’une vie, d’ailleurs ça été le cas pour moi et je le lui confie sans trop de gêne, c’est derrière moi. De plus, elle ne me juge pas vraiment, au contraire… Elle me confie même avoir eu le même genre de réaction. Je ris alors un peu tout en la regardant dans ses magnifiques yeux clairs.

-On aurait du s’en douter toi et moi, déjà à l’époque. J’veux dire… On était pas les moins jaloux du monde lorsque quelqu’un essayait d’approcher l’autre ou de s'immiscer dans notre groupe…

C’est surement pour cela que c’était aussi souvent explosif aussi ! Comme cette histoire de numéro au café… En fait, était-ce cela de sa part ? De la jalousie ? Je n'en sais rien et je ne pense pas avoir envie de m'épancher là-dessus. Tout ce que je sais c’est que... Ouai… Cela a bien failli repartir en cacahuète entre elle et moi… Mais Jessy et moi, on aime bien les cacahuètes, particulièrement lorsqu’elles claquent des portes à la fin. Cette pensée me ferait presque sourire si la suite n’était pas aussi sérieuse.

Parce que oui ! Soudainement elle devient très sérieuse, elle me demande de ne pas lui demander ça, car elle serait capable de tout balancer sur son chemin pour les trouver ces fichues clés. Mon visage n’est plus vraiment souriant, mais pas énervé non plus, il l’observe et il l’apprécie. Mon regard se pose sur ce bout de femme forte, libre… Que j’ai toujours adoré. Elle a toujours eu plus d’audace que moi, ou en tout cas à un autre niveau, et cela, ça m’a toujours plût. Je finis tout de même par avoir un petit sourire, j’ai jusqu’à présent gardé le silence, comme si je pensais bien le sens de mes paroles et des siennes.

-Je sais ce que je demande et ce que je dis Jessy. Trouves moi ces clés… Aide-moi à trouver le parfait équilibre entre ce que tu penses que j’ai manqué tout ce temps, ce que tu penses que je manque… Mais en gardant ce que j’aime. Tu penses que cela est possible ?

Être libre, je le suis, mais pas totalement, pas assez à son goût, et surement au mien, mais lorsqu’on est concerné, cela n’est jamais facile de se l’avouer et je pense qu’elle peut m’aider à y reprendre goût, sans pour autant foutre en l’air ma carrière. Est-ce là un gros défi que je lui lance ? Peut-être… Et je la met en front direct avec William, mais je suis sûr qu’elle pourrait peut-être montrer également à Will’ qu’on peut vivre en gagnant sa vie ? Moi il est mon patron, en quelque sorte, je ne peux malheureusement « pas faire plus », je suis sous contrat. Elle, elle est un électron libre qui surgit de mon passé… Ça ne plaira pas à mon agent, mais… Je crois que oui. Je suis sincère et sérieux dans ce que je demande. Tant que je suis ici autant apprendre à vivre, n’est-ce pas ? De toute façon, les gros titres sont déjà sortis, que pourraient-ils inventer d’autres ? Et il y a surement moyen de vivre sans finir à poil dans la rue et donc être exposé aux yeux de tous… Et à ceux des paparazzsi et fans plus particulièrement… Juste cette histoire de tarte aux pommes par exemple ! Je ne m’accroche pas à elle en tant que porte de sortie, non… Je vois en elle plutôt la vie, la bêtise, les rires… Des choses que je n’ai pas fait depuis bien longtemps. Il faut dire qu’être adulte, cela peut craindre parfois…

Un geste, un moment, un instant et nous voilà à rattraper les éclats d’une jeunesse explosée par un départ soudain. Si j’étais resté, la vie aurait certainement été bien différente pour nous deux et je pense que c’est pour cela que le goût de ce baiser est d’autant plus fort et lourd de sensation. Il n’est pas juste un baiser d’envie, d’excitation, de désir soudain d’une personne, c’est plus encore, c’est celui de la nostalgie, des beignets, d’une attente longue de 20 ans, d’une imagination débordante de « et s’il n’était pas parti », « et si elle avait eu le courage avant ? » Tant de questionnements sans réponse pendant si longtemps, rattrapés en quelques grains de sucre sur ses lèvres si désirables.

Un baiser si fort de sensation, dans une douceur pourtant infinie et presque pure, qu’on manque rapidement de souffle. C’est bien évidement à contre-coeur que nos lèvres se séparent, ou du moins de mon côté, pour parler de nouveau, enfin peu, mais autant que le souffle qu’il me reste me le permettait. Elle me répond, sa réponse me fait sourire parce qu’au final la faute n’est ni sur l’un, ni sur l’autre… Elle est un peu sur cette vie qui s’est jouée de nous, non ? Qu’importe aujourd’hui, là, maintenant, on rattrape ce moment perdu sur le pas de la porte de cette même maison il y a tant d’années. Elle m’embrasse de nouveau, j’y réponds. Aucune autre alternative ou issue possible, elle est peut-être ce qui m’a manqué tout ce temps, ces questionnement sans réponse. Je ne sais pas combien de temps cela durera, ni même où cela ira, mais j’en profite tant que le moment est propice. Je l’attire à moi, sur moi… La position est plus agréable pour nous deux je pense, du fait de ne pas être tordus.

Elle est ce goût de découverte et de plaisir coupable, nos corps se pressent sans pour autant s’arracher. Ce n’est pas la précipitation qui nous gagne, l’envie de rapidité, l’envie de ne vouloir qu’arriver au moment T. C’est plutôt l’inverse, comme une douceur avide. L’avidité des lèvres, de l’instant, du corps de l’autre et même si le souffle nous manque malheureusement trop vite. C’est comme si on retenait son souffle d’un moment qui nous prend aux tripes et en même temps qu’on donnait tout ce qu’on avait pour profiter un maximum. Son regard à présent plongé dans le mien, tandis que l’on en profite pour apprendre de nouveau à respirer, je ne peux que sourire en la regardant, frissonnant quelque peu sous la tendresse des gestes que son pouce effectue sur mon bras. J’ai envie de dire quelque chose, de lui dire à quel point je la trouve belle ainsi, les yeux brillants, les lèvres rouges et légèrement gonflées par ces baisers dévorants.. Mais j’ai peur de briser cet instant en parlant de nouveau alors ce sont mes gestes qui le font. Mes mains se glissent dans son dos, sous son haut, le remontant doucement du même temps et geste que mes mains qui, doucement, touchent et découvrent sa peau, capturant l’instant nos regards plongés l’un dans l’autre. Je ne précipite rien, comme une demande silencieuse d’aller plus loin...

@Jessy Voight  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990
black pumpkin
Revenir en haut Aller en bas
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
Jessy Voight
Jessy Voight
Messages : 304
RPs postés : 92
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 5b0x
Age : 39
Logement : - C'est ton mari qui avait eu un véritable coup de cœur pour la bâtisse. Certain qu'elle était la maison idéale pour vivre heureux et vieillir sereinement, il a fini par te convaincre. Aujourd'hui, cette maison est la seule chose qu'il te reste de lui, il vit à l'intérieur de ses murs à chaque fois que tu regardes autour de toi, tu le vois en train de bricoler les lieux pour que tout soit parfait et confortable. Tu ignores si tu vas vieillir dans cette maison, mais aujourd'hui, elle est ton foyer, le toit qui met ta fille Léa en sécurité et le quartier Walnut Creek est appréciable.
Occupation : - Autrefois, tu étais policière, mais le train-train de la vie de famille et la balle reçue lors d'une enquête on eut un effet direct sur ta carrière. Tu as choisi d'être une mère, une épouse à temps plein, mais aujourd'hui ta fille est grande, ton mari n'est plus, c'est pourquoi tu t'es reconverti en détective privé et tu excelles dans ton métier, ton ancienne carrière est un plus majeur, tu n'as rien perdu et ta détermination te pousse à aller jusqu'au bout même si pour cela, tu dois te faire des ennemis en chemin. Financièrement, tu n'es pas à plaindre tu t'en sors bien.
Avatar : La queen Katheryn Winnick
Crédits : En général, c'est Cynlis.
MC : Actuellement aucun, mais pourquoi pas dans quelque temps.
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
31.03.23 0:29
Après un long dimanche de travail...
 @Dylan Lewis  & Jessy Voight
Warning --> Décès, deuil, relation charnel.

♬ coup de coeur ---> Louane - Désolé
 - Il y a tout un tas de façon de voir la vie et toi Jessy, tu l’as vois d’une manière plutôt simple, tu penses que les années qui se déroule avant l’âge adulte sont là pour créer des bases, des fondations, des charpentes solides, à tes yeux cette construction est à entretenir si on souhaite pouvoir chérir et admirer l’oeuvre lorsque tout est beau, c’est des efforts constants, une volonté d’acier dont il faut redouté pour entendre ses bases et toi Jessica, tu vois la vie ainsi, tu estimes que tout ce que tu as vécue pendant ton enfance, ton adolescence sont les fondations de ta vie, ton départ et jamais tu n’as imaginer tourner le dos à ses fondamentaux, tu aurais même trouver cela ingrat dans le fond alors tu es resté proche de tout le monde, tu as gardé contact avec cette bande qui autrefois était si unis, si invincible, ensemble tu avais l’impression que rien ne pouvait t’arriver, mais la vie vous a malheureusement tous un peu éparpiller enfin… Surtout Dylan parce que toi, tu as su entretenir une relation avec chacun d’entre eux et aujourd’hui, ils sont ta famille, celle que tu as choisi, celle que tu ne lâcheras pour rien au monde. Cependant même si tu n’aurais pas pu faire ce que le brun à fait il y a vingt ans, tu l’admires parce qu’il a eu une force et un courage incroyable, tout lâcher pour tout commencer à zéro il fallait avoir une sacré paire de couille pour pouvoir le faire et même s’il est possible de voir les choses dans le sens de la lâcheté, tu te dis que le plus important, c’est qu’il est fait le bon choix et que cela lui est réussit d’ailleurs tu lui dis, mais tu marques d’avantage sur ce qu’il a pu dire sur toi à son agent et ce qu’il te répond te fait rire.

<< Mais dis donc, tu marchandes pour tout ! >>

Dis-tu en le regardant sérieusement avant de rire tout en plissant les yeux.

<< Laisse moi deviner, tu lui as dit que j’étais une emmerdeuse qui te rendait fou que j’étais jamais d’accord avec toi et que tu ne pouvais pas me supporter >>

Franchement il serait possible qu’il est pu dire ce genre de chose parce que tu lui tenais tête bien souvent peut être même trop souvent, mais dans le fond tu voulais simplement qu’il te regarde et qu’il voit en toi cette femme qui était à en devenir, mais il n’a pas su te voir enfin… Si, mais pas suffisamment pour s’accrocher à toi.
Vingt ans, c’est tellement court, mais tellement long à la fois, tu as passer tes plus belles années sans lui dans ta vie, tu as vécue toutes tes premières fois sans lui à tes côtés quand tu y penses c’est étrange parce que toi, tu n’avais jamais imaginé ce scénario à l’époque. Votre bande à été très impacté face à son départ, elle n’a pas explosé en éclat peut être parce que tu as pu compter sur les gars et Becca pour maintenir le tout. Ce fut bancal un moment après tout perdre un pied fondateur n’est pas simple, mais vous avez réussi à colmater et tu es fière de cela.

Fière d’avoir tes amies sur qui compter quand tes journées sont plongés dans l’obscurité, fière d’avoir eu suffisamment de force pour maintenir cette magnifique construction amicale, tu n’iras pas t’en vanter parce que ça ne te ressemble pas, mais ta fierté est là, tu as vécue Jessy et tu penses avoir vécue ce qu’il fallait vivre.
D’ailleurs tes crises de jalousie, c’est tes amis qui les ont essuyer, c’est eux qui t’ont porté quand tu t’es écroulé, eux, encore eux et toujours eux.

<< Tu penses qu’on peut dire que c'était de la jalousie ? Peut-être davantage de protection ? Non, mais franchement le nombre d’idiot qui ont tenter de détruire ce qu’on était ! >>

Oui, il y avait de la jalousie de ta part quand une fille approchait Dylan, mais concernant les personnes qui voulait devenir un membre du groupe, tu penses que c'était là davantage de la protection, un bouclier d’autodéfense histoire de ne pas laisser une personne détruire ce que vous étiez, mais c’est finalement Dylan qui a tout détruit… Belle ironie du sort quand on y pense.

Puis sans réellement comprendre comment vous avez fait pour arriver sur un sujet de conversation aussi sérieux, tu le regardes avec un sérieux qui ne te ressemble pas, mais pourtant, tu es aussi une femme assidu Jesisca. Tu lui dis ce que tu penses, tu n’hésites pas à lui dire que tu serais en mesure d’escalader la tour qu’est sa prison pour venir le délivrer, c’est ce que ferait une amie, c’est ce que Léandre et les autres feraient pour toi ! Et toi, tu es loyale Jessy, tu es une véritable amie qui ne bafouille pas ses principes. Si demain, l’uns de tes amies venait à avoir besoin d’un rein, c’est sans hésitation que tu te ferais tester et si tu venais à être compatible tu ferais ce que tu dois faire. Tu le mets en garde, mais lui il reprend et enchérit ses propos, il veut que tu le fasse sortir de cette tour, il veut que tu trouves ses clefs et ce qu’il vient de te dire n’est pas tomber dans l’oreille du sourde, tu vas la défoncer cette porte et peu importe de quel manière, tu vas le sortir de son trou, de cette vie qui semble avoir aucun sens à tes yeux.

<< Je pense que tout est possible si on s’en donne vraiment la peine >>

Encore une façon de voir la vie qui t’est propre, mais tu es certaine qu’avec de la bonne volonté ont peut refaire le monde alors il n’y a pas de raison que le jeune homme ne puisse pas goûter à la vraie vie ! Après tout à quoi cela sert-il d’avoir de l’argent si au final on est tout seul pour le dépenser ? La famille, les amies, c’est ça le plus précieux. La vie est trop courte pour s’emmerder avec plus de restriction que nécessaire, il faut savoir profiter de chaque instant, vivre le moment présent et c’est ce que vous faites puisque vos lèvres se rencontrent après tant d’années d’attente, tu n’y croyais plus et jamais tu n’aurais penser cela possible surtout après toute ses années, mais tu es bel et bien là, lippe contre les siennes, tu vis le moment que la vie te propose, tu ne le rejettes pas, tu ne le repousse pas, tu accueilles les bras ouverts sans penser aux conséquences où bien même au après, vous aurez tout le temps pour observer l’horizon qui vous attends.

D’un instant à l’autre, tu grimpes sur lui alors qu’il ses mains t’y conduise, tu ne lui refuse pas cette demande, la nostalgie du passé que vous avez manqué à sa place dans ce contact, dans la fluidité de votre baiser, présente en arrière plan elle laisse un goût léger en parallèle chose qui te pousse à en réclamer davantage, tu ne souhaites pas que ce moment s’arrête et pourtant, c’est la limite atteinte par tes deux poumons qui te force à mettre fin à ce moment qui est a vous. Tes saphirs plonger dans ses émeraudes, tu es désireuse d’avantage, mais tu ne précipites pas l’instant, tu le figés afin de le mémoriser pour ne jamais l’oublier, tes pouces caresse les bras du brun qui doucement glisse ses mains sous ton haut, mais qui a la délicatesse de demander la permission et pour cela, il n’a guère besoin de faire entendre sa voix, tu lis dans le vert des yeux, tu clignes des yeux doucement, tu te redresses un peu et doucement tu poses tes mains sur le bas de ton haut afin de le retirer toi-même pour le laisser te regarder, pour que ce moment ne soit pas annoté comme ce que vous avez déjà pu connaître, pour que ce moment soit suspendu dans l’air du temps, pour que cet instant soit éternel.

Dans l’incapacité de te défaire de ses émeraudes, tu le regardes en le laissant parcourir tes courbes féminines, tu te retiens de mettre ta main sur cette cicatrice qui dévoile une blessure profonde, une passe difficile de ta vie. Cicatrice de balle situé sur le flanc centre de ton sein gauche, elle est quelques peu cacher par ta dentelle supérieure de couleur blanche, tu mordilles ta lèvre le laissant te juger, t’admirer tandis que tu meurs d’envie de le parcourir visuellement également, mais tu ne forces pas, tu ne demandes même pas autorisation, tu laisses simplement l’instant faire de vous ce qu’il souhaite.

Revenir en haut Aller en bas
Dylan Lewis
membre du mois
Dylan Lewis
Dylan Lewis
Messages : 485
RPs postés : 66
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 Jensen-ackles
Logement : Vit actuellement chez son père, dans le quartier sud de la ville. Le garage, quant à lui, se trouve au centre. Il y vit seul pour le moment, le temps que son père sorte du coma.
Occupation : Il chante depuis qu'il a environ 22 ans. Il a été découvert par son agent à ses 25 ans et a vraiment percé a ses 28 ans. Cela fait maintenant 10 qu'il est connu à travers le pays, voir le monde pour les plus grands fans de rock. Il passe sa vie sur la route. Cependant il va devoir reprendre les rênes du garage de son père ''Lewis&Son" depuis le coma de celui-ci...
Avatar : Jensen Ackles
Crédits : Neverland
Dylan Lewis
membre du mois
01.04.23 14:53

Je suis vraiment désolé...


Je ne peux m’empêcher de rire de bon coeur lorsqu’elle me dit que je marchande sur tout. C’est justement un rire du coeur, si spontané, si soudain que ma tête part légèrement en arrière, que mes quelques rides se marquent au coin de mes yeux et surtout que mon regard reste brillant de malice. Comme je l’ai souvent dit, j’ai tellement de temps, de taquinerie, de malice à rattraper ! Lorsque j’ai quitté cette ville, à mes 18 ans, j’ai fait également le choix de foutre au placard ma jeunesse et mon insouciance. Je n’étais même pas majeur au final, ici, dans mon pays. J’ai bossé dur pour ne pas finir à la rue et je me suis parfois battu parce qu’on me prenait juste « pour un p’tit con ». C’est difficile de faire confiance à un petit jeune. J’ai fais le choix de laisser derrière moi tout ça, de laisser les rires, les fous rires et les bêtises que je pouvais avoir avec Jessy, mais avec tant d’autres aussi. Le confort aussi… Le confort réconfortant des parents, de la maison parentale qui ne te laisserait pas dormir sur un banc…. Alors oui, je rattrape, au fond, tout ce temps que j’ai décidé d’exiler pour avoir une vie d'adulte très vite, très tôt, très jeune, afin de vivre mon rêve avec ou sans soutien paternel. Cela m’a d’ailleurs boosté, je voulais réellement lui montrer que j’avais eu raison de le faire, de partir et d’y croire. Aujourd’hui bien évidement que je trouvais ça idiot cette dispute, que je regrettais, mais la vie était ainsi faite et on ne pouvait pas revenir en arrière.

-Qu’est-ce que tu crois ? Il faut bien que je puisse me rattraper !

Je souris grandement, tel un ange que je veux paraître, mais que je ne suis pas. Que je n’ai jamais vraiment été et que je ne serais probablement jamais. Je pense que Jessy est bien placée pour le savoir, malgré ma timidité parfois pesante… Je n’étais pas le dernier pour faire des bêtises ou emmerder mes amis. Je retiens un nouveau rire lorsqu’elle tente de deviner ce que j’ai dis, je sais parfaitement qu’elle fait ça pour savoir la vérité et pour rire aussi ! Elle ne « s’insulterait » pas gratuitement, mais du coup j’ai envie de pousser le vice, le moment, l’instant ! J’ouvre alors de grands yeux, usant de mon plus grand talent d’acteur, l’air vraiment surpris.

-Comment tu as pu deviner… ?

Finis-je par demander les sourcils un peu froncés, comme si j’étais réellement confus qu’elle ait pu dire à l’exactitude mes mots. Bien évidement, il n’en était rien, mais j’avais envie de réellement lui faire croire, juste pour voir sa réaction, juste pour déclencher une réaction justement et surtout juste pour l’embêter.

Je finis par redevenir réellement plus sérieux lorsqu’elle me demande si je pense vraiment que tout cela était de la jalousie et pas plus… De la protection, d’ailleurs je ne peux pas retenir un petit rire lorsqu’elle les « insulte » d’entrée de jeu, sans réellement savoir qui il sont, ni même ce qu’ils sont devenus au fond !

-C’est vrai, cela était peut-être plus de la protection ou en tout cas de la survie et de la défense… Mais on attirait la jalousie ça c’était sûr et certain !

Affirmais-je finalement sûr de moi pour le coup. Lorsqu’on est les populaires du lycée, surtout au moment de l’adolescence, alors tu es jalousé ou admiré… Quoi qu’il en soit, tu ne laisses pas indifférent et notre groupe ne laissait personne indifférent que cela soit pour les deux jolies filles qui en faisaient parties ou les trois beaux mecs ! Oui… Je me lance, nous lance un peu de fleurs, cela ne fait pas de mal si ce n’est que de temps en temps, n’est-ce pas ? Et de toute façon je ne l’ai pas dis oralement, seulement pensé alors…

Et comme bien souvent on passe du rire aux larmes, du sérieux à la connerie et là… On passe du sujet léger, de notre adolescence, de la jalousie des autres, à quelque chose de très sérieux. On parle soudainement de ma vie… Je suis conscient de ce que je demande et à qui je le demande. Je sais parfaitement que Jessy ne laissera rien au hasard, qu’elle n’hésitera pas et c’est surement pour cela que oui… Je le demande avec tant de sérieux, même lorsqu’elle m’avertit. Je ne lâche pas pour autant c’est dans son regard que je lui montre ma certitude… Elle me réponds alors que tout est possible à partir du moment où l’on se donne les moyens. Je souris, un petit sourire en coin, pas amusé cette fois, juste serein.

-Et ce n’est pas moi qui te dirais le contraire. Je fais en sorte de me donner les moyens en remettant les clés entre les mains de la liberté elle-même…

Et par la liberté je parlais bien d’elle. Elle est libre, sans attache. Personne ne semble même l’avoir capturée depuis son mari. Elle est ce qu’on idéalisait lors de notre jeunesse. Elle est ce qu’il me manque alors… Oui je pense avoir formulé de façon la plus juste qui soit ce que je pense réellement. Elle a des clés que je ne peux pas avoir, elle n’a rien qui la lie à William… J’adore Will’, mais il est parfois, cela est vrai, ma petite prison dorée.

D’ailleurs je suis cette fois-ci dans une bulle, suspendu dans le temps, dans un film tout serait au ralenti, tout serait hors du temps dès le moment où nos lèvres se trouvent encore. 20 ans c’est long pour trouver un chemin que tous pensait déjà tracé, non ? Oui, c’est sûr, mais cela n’en est que plus savoureux… Cette bulle personne ne peut l’atteindre, pas même William et en réalité je ne laisserais personne l’atteindre, je n’en ai pas envie. Je ne le veux pas.

Je l’attire à moi et elle n’émet aucune résistance…. Je ne pense pas nécessairement que ce moment était prévu, il est venu, il nous a cueilli. Il n’a suffit que d’un peu de sucre, au final comme une recette magique : un soupçon de nostalgie, quelques pincées de sucre et voilà la recette de rattrapage d’un moment raté bêtement. Nos lèvres se cherchent pour ne plus se quitter si ce n’est par obligation, mes poumons pourraient presque me brûler tellement l’air vient à manquer, mais ce moment, ces baisers sont précieux… Autant que la couleur des pierres précieuses qu’ont nos yeux qui s’accrochent pour ne plus jamais se lâcher. Je pense sincèrement qu’il pourrait y avoir une bombe à l’extérieur que je ne l’entendrait même pas. J’en ai la confirmation lorsqu’elle retire délicatement son haut que j’ai commencé à relever, dans une demande silencieuse, dans un moment de pudeur à moitié consommé…

Mon regard se détourne du sien, observant alors son corps dévêtu d’une couche, mes mains qui étaient à la moitié de son dos remontent légèrement. Je ne la dévore pas du regard, je dirais plus que je la savoure, doucement, précieusement, comme si d’un instant à l’autre je pouvais me réveiller et que tout disparaisse. Je veux graver dans ma mémoire chaque courbe, chaque instant lorsque mon regard se pose sur une cicatrice tout de même voyante malgré la dentelle blanche qui la cache de part moitié. Je retire alors l’une de mes mains de son dos pour venir comme effleurer cet endroit marqué par son histoire. Laquelle je ne sais pas… Mais cela me rappelle ce que je lui ai dis lors de nos retrouvailles par rapport aux marques que forment les rides sur notre visage… Je relève alors de nouveau le regard vers elle, accrochant ses iris qui semblent tout de même incertaines, est-ce la faute de cette marque ? Je souris doucement, reprenant alors dans une voix basse, sans que cela soit un murmure pour autant.

-Je le savais… Ton histoire te rend encore plus belle Jessy...




@Jessy Voight  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990
black pumpkin
Revenir en haut Aller en bas
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
Jessy Voight
Jessy Voight
Messages : 304
RPs postés : 92
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 5b0x
Age : 39
Logement : - C'est ton mari qui avait eu un véritable coup de cœur pour la bâtisse. Certain qu'elle était la maison idéale pour vivre heureux et vieillir sereinement, il a fini par te convaincre. Aujourd'hui, cette maison est la seule chose qu'il te reste de lui, il vit à l'intérieur de ses murs à chaque fois que tu regardes autour de toi, tu le vois en train de bricoler les lieux pour que tout soit parfait et confortable. Tu ignores si tu vas vieillir dans cette maison, mais aujourd'hui, elle est ton foyer, le toit qui met ta fille Léa en sécurité et le quartier Walnut Creek est appréciable.
Occupation : - Autrefois, tu étais policière, mais le train-train de la vie de famille et la balle reçue lors d'une enquête on eut un effet direct sur ta carrière. Tu as choisi d'être une mère, une épouse à temps plein, mais aujourd'hui ta fille est grande, ton mari n'est plus, c'est pourquoi tu t'es reconverti en détective privé et tu excelles dans ton métier, ton ancienne carrière est un plus majeur, tu n'as rien perdu et ta détermination te pousse à aller jusqu'au bout même si pour cela, tu dois te faire des ennemis en chemin. Financièrement, tu n'es pas à plaindre tu t'en sors bien.
Avatar : La queen Katheryn Winnick
Crédits : En général, c'est Cynlis.
MC : Actuellement aucun, mais pourquoi pas dans quelque temps.
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
03.04.23 23:50
Après un long dimanche de travail...
 @Dylan Lewis  & Jessy Voight
Warning --> Décès, deuil.

♬ coup de coeur ---> Louane - Désolé
 - -Qu’est-ce que tu crois ? Il faut bien que je puisse me rattraper ! Tu sais qu’il dit cela en le pensant dans le fond toi aussi tu aimerais rattraper le temps, mais tu sais que ce n’est pas possible, tu sais que tout ce temps est derrière vous et qu’il n’y a que l’horizon qui s’offre à vous. Une part de toi Jessica est chagriné du temps que vous avez perdu, mais l’autre part de toi est heureuse d’avoir la chance de le retrouver après tout quelle chance avais-tu de le croiser au marché ? Quelle chance y avait-il pour que le contact passe aussi bien après toutes ses années ? Bon, tu n’es pas rancunière de ce qu’il a pu faire, mais tout de même le temps aurais pu vous rendre différent et faire de vous deux parfaits inconnus, mais non, tu as l’impression de ne pas l’avoir quitter autant d’années, c’est un peu comme si tout avait eu lieu hier. C’est étrange comme sensation, mais c’est ce que tu ressens en sa présence.

<< Tu crois pouvoir tout rattraper ? >>

Demandes-tu doucement en souriant le mettant peut être même au défi, tu plisses les yeux et tu ajoutes.

<< Tu tentes de te faire passer pour un ange avec ton sourire angélique là ? N’oublie pas Dylan, je te connais >>

Aussi fou que cela puisse être, tu le connais ! Oui, tu connais cet homme malgré ce trou de vingt ans, tu as le sentiment de le comprendre et de tout savoir sur lui même si en réalité ce n’est clairement pas le cas, mais tu sais qu’il n’est pas un ange et cela t’arrange tu n’aimes pas les anges enfin si lorsqu’ils sont à leurs places, mais un ange sur terre c’est pas ta tasse de thé.

Instinctivement tu te lances dans une devinette qui te concerne, tu t’insultes et lui il confirme, tu écarquilles les yeux Jessy surprise de l’entendre te confirmé qu’il ne s’est pas gêné pour parler de toi en mal. Bon, tu admets que tu n’étais pas un cadeau, mais tout de même toi tu n’as jamais parler mal de lui ! Alors oui devant le sérieux qu’il dégage, tu es stupéfaite peut être même déçu.

<< Ah bah merci, super l’image ! >>

Lâches-tu en gardant les yeux grand ouverts bloquant sa respiration sur le moment puis tu ajoutes.

<< Non, mais sérieux ? >>

Tu cherches à savoir le vrai du faux, mais il est sacrément sérieux comme quoi la scène pousse à faire du cinéma et à être un bon acteur ! Mais tu vois son regard changer quand il reprend un sérieux plus intense, plus véridique. Tu l’écoutes signaler que certains étaient jaloux de vous et c’est vrai, il a raison, vous avez fait pas mal d’envieux.

<< Il faut dire qu’on était une sacré équipe ! On était bien, normal que les gens nous jalousaient… Ce temps là me manque parfois >>

Non pas la jeunesse et l’insouciance, mais véritablement la bande, aujourd’hui plus rien n'est pareil et même si les autres venaient à pardonner au brun, tu n’es pas certaine que cela sera comme avant, quand quelque chose est brisé, c’est juste brisé… Et la colle n’y change rien.

Vos conversation sont sérieuse peut être un peu trop puisque tu te retrouves à parler avec lui de sa prison dorée et de l’idée que tu as de l’aider à en sortir, tu n’es pas certaine qu’il comprenne parfaite ce que veut dire en sortir, mais il semble vouloir que tu l’aides, oui c’est ce qu’il veut, il te fait savoir et toi Jessy, tu ne peux pas refuser une telle demande, un tel appel a l’aide surtout que Dylan ? Tu l’aideras toujours quoi qu’il puisse arriver ! Si, tu ne l’avais pas recroisé et qu’il t’avait juste appeler tu serais aller le voir sans poser de question, claquant ainsi toute tes économies, vous avez ce lien que personne ne peux comprendre pas même toi pour être franche, c’est juste que Dylan et bien c’est Dylan… Et si ce William se trouve sur ton chemin, tu n’hésiteras pas à le pousser dans le ravin ! Tu as toujours été ainsi, déterminée, obstinée et tu t’es toujours donner les moyens d’arriver à tes fins, tes réussites tu ne les dois qu'à toi et ton travaille, impulsive tu avais tendance à rentrer dans les choses sans réfléchir aux conséquences, mais débrouillarde tu t’es toujours sortie de la merde peu importe sa forme. Tu es un adversaire de taille Jessy alors tu déconseille vivement à toute personne d’être sur ta route.

Il enchérit, il te cite parfaitement ce qu’il veut, il se donne les moyens de demander de l’aide, tu as compris, le message est passer alors maintenant tu sais ce qu’il te reste à faire Jessy, tu vas lui montrer ce qu’est la vie loin de ses projecteurs. Tu vas lui faire aimer la vie normale, la vie qu’il aurait pu mener à tes côtés s’il en avait décidé autrement, s’il ne t’avait pas laissé derrière lui, tu sais que tu vas parvenir à lui faire apprécier cette vie qu’il va réaliser la beauté d’une vie lamba seulement ce que tu ne sais pas c’est si cette vie est compatible avec la sienne. Tu ne peux pas tout savoir Jessica, mais tu n’as pas peur de découvrir, d’apprendre et de comprendre alors tu vas le faire, pour lui.

Ce qui se passe maintenant, tu ne t’y attendais pas, tu étais venu parler, manger des beignets, mais c’est ses lèvres que tu manges avec douceur, tu es sur lui et les choses s’enchaînent, mais dans un rythme que tu n’as plus connu depuis… depuis tes débuts avec Trévor. C’est lent, mais si tendre que cela en est déroutant, ses mains virils sur ton dos cherche permission avant de prendre du terrain, tu lui donnes ta permission, mieux encore Jessy, tu viens à retirer doucement ton haut afin qu’il puisse te regarder, afin de dire qu’il a le droit de te toucher, le droit de te regarder. Cette douceur ne te ressemble pas, tu es davantage bestiale, mais là avec lui ça ne te dérange pas, c’est nouveau, c’est différent. Telle une adolescente en quête de sa première fois, tu gardes tes mains demandeuse d’explorations sur tes cuisses, tu attends qu’il décide, qu’il te fasse part de ses envies après tout lui aussi à son mot à dire et ce qu’il découvre pourrait ne pas lui plaire.

Ses doigts s’approche de cette plaie qui ne passe jamais inaperçu, cette cicatrice te ronge, elle attire trop de regard que ce soir lorsque tu portes un jolie décolleté où lors d’un moment câlin et toi, elle te rappelle sans cesse que tu as manqué de flanche à gauche et ce souvenir est douloureux parce que tu te souviens de la douleur que tu as sentie quand la balle a transpercé ta chair pour se loger entre deux artères principale. Le fait est que tu sois encore là aujourd’hui est un miracle tout comme ce moment, tu le laisses donc effleurer cette cicatrice, un peu confuse par le moment, il saisit tes iris incertaine et il te dit d’une voix basse que cette marque ne fait que t’embellir, tu n’es pas d’accord avec cela, mais tu souris parce qu’il a su trouver les mots juste, les mots qui te fallait pour débloquer l’instant. Sourire aux lèvres, regard dans le sien, tu viens doucement glisser tes mains sur son haut, haut que tu veux voir quitter son corps, tu tires doucement dessus tout en le fixant attendant son accord. Tout est dans le consentement, dans le respect de l’un et de l’autre, tel deux ados vous prenez le temps de vous découvrir.

Revenir en haut Aller en bas
Dylan Lewis
membre du mois
Dylan Lewis
Dylan Lewis
Messages : 485
RPs postés : 66
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 Jensen-ackles
Logement : Vit actuellement chez son père, dans le quartier sud de la ville. Le garage, quant à lui, se trouve au centre. Il y vit seul pour le moment, le temps que son père sorte du coma.
Occupation : Il chante depuis qu'il a environ 22 ans. Il a été découvert par son agent à ses 25 ans et a vraiment percé a ses 28 ans. Cela fait maintenant 10 qu'il est connu à travers le pays, voir le monde pour les plus grands fans de rock. Il passe sa vie sur la route. Cependant il va devoir reprendre les rênes du garage de son père ''Lewis&Son" depuis le coma de celui-ci...
Avatar : Jensen Ackles
Crédits : Neverland
Dylan Lewis
membre du mois
09.04.23 12:48

Je suis vraiment désolé...



Je sais parfaitement que le temps court, qu’on ne peut pas le rattraper et que du temps perdu c’est juste du temps perdu. En réalité, si on regarde bien… Le temps c’est aussi une notion très humaine, c’est quelque chose que les hommes ont inventé. Si je détermine qu’une heure n’est pas en fait 60 minutes, mais plutôt 90… Alors cela change tout et c’est en cela que j’aimerais parfois rattraper le temps perdu avec la jolie blonde qui me fait face. Je sais que c’est impossible, les rides sur nos visages, nos cheveux blanchissant doucement, mais surement, en sont la preuve, mais il est bon d’espérer parfois, non ? De toute façon, Jessy et moi on l’a déjà déterminé : l’espoir fait vivre ! Elle me questionne alors et je répond de façon honnête, n’ayant réfléchi qu’un court instant.

-Je pense, en tout cas, que je peux faire en sorte de ne pas gâcher ce qu’il reste. Un peu comme un rattrapage oui !

Je finis par rire de bon coeur lorsqu’elle me dit qu’elle me connaît et que ce n’est certainement pas mon sourire angélique qui l’aura. Mince ! Au fond, je pourrais lui dire que j’ai peut-être changé en 20 ans, mais cela nous ramènerait inévitablement au fait que oui… Il y a bel et bien un trou béant de 20 ans entre nous et ce n’est pas ce que je souhaite. De toute façon… Je ne pense pas avoir bien changé, ni elle. Bien évidement on a nos vécus, on a un peu muri, ou pas, mais… Au fond, on reste les mêmes j’en suis persuadé. Alors à la place je réplique tout simplement.

-À défaut de me faire passer pour un ange puisque tu n’y crois pas, il te fait encore craquer j’espère bien !

C’est vraiment amusé que je la regarde, d’autant plus lorsqu’elle me repousse lorsque je sous-entends qu’en effet j’ai dis touuuuutes ces affreuses choses à William. En réalité, ce n’est pas vrai, bien évidement, mais cela m’amuse de voir sa réaction. Elle ressemble actuellement à une enfant un peu boudeuse ce qui la rend particulièrement adorablement belle et craquante…. Mais je ne garde pas mon sérieux longtemps lorsqu’elle me demande si je suis vraiment sérieux. Je ris même, mais un rire qui vient du coeur, ce genre de rire qui fait du bien. Je la regarde alors l’oeil brillant d’amusement, souriant de pleines dents.

-Bien sûr que non ! Mais juste pour voir ta petite moue contrariée, absolument adorable, je ne regrette pas d’avoir pris le parti de te le faire croire… !

Cependant l’amusement s’efface presque instantanément lorsqu’on parle de notre groupe, de ce qui nous a tous soudés et rapprochés à l’époque. De ce qui a fait de nous qui nous sommes aujourd’hui aussi certainement un peu… Ma tête se hoche légèrement à ce qu’elle conclut, sur le fait que parfois cela lui manque. Je dois dire que moi aussi… Cela me manque parfois. C’est avec une nostalgie certaine que je repense à tout ça, à cette période de ma vie, de notre vie et que je me dis que j’aurais vraiment dû faire des choses différemment, mais ce qui est fait est fait, non ? D’ailleurs, je maintiens tout ce que je dis lorsque je lui demande de trouver les clés… Peut-être que oui, oui je suis passé à côté de certaines choses et oui je lui demande de me montrer ce qu’elle appelle « la vie »… Et je l’assume. Je sens déjà que William finira certainement chauve à s’arracher tous les cheveux, mais qu’importe. J’en ai envie… Et peut être même besoin.

Et de toute façon… Jessy et moi on est déjà sur le chemin du temps à rattraper par ce baiser trop attendu, par ce moment suspendu, par ces sensations accrues… Tout est fort, tout est lent, certes, mais c’est la découverte au final d’un monde, notre monde. C’est quelque chose de précieux ? Nous sommes actuellement projetés en arrière, j’ai l’impression d’être le Dylan de 18 ans qui, trop timide pour avouer ses sentiments à la jolie blonde du groupe, rêve et fantasme quelques instants intimes avec elle… Sauf que tout ça, là, aujourd’hui c’est bien vrai. Ses lèvres sur les miennes, sa peau sous mes mains, les sensations que tout cela me procure… Et là je la vois, cette cicatrice, cette trace de plus sur son corps, cette marque de son histoire. Comme je le disais lors de notre rencontre, je trouve vraiment ça beau et je le maintiens ! Et même si on a été séparé pendant de nombreuses années je pense être encore capable de voir lorsque la belle Jessica n’est pas à l’aise… Et là, elle ne l’est pas, cependant ça ne m’empêche pas de confirmer mes propos, oralement, de la regarder avec toujours la même douceur, la même envie et le même plaisir. Ça ne m’empêche pas de découvrir ces sensations, qui ne sont pourtant pas nouvelles, elle n’est pas la première femme que je vois en sous-vêtements, mais pourtant oui avec elle tout semble nouveau, fort et précieux… C’est très étrange comme sensation. Je pense au final que tout ça ne s’explique pas… Je pense que tout cela se vit tout simplement. Elle sourit à mes mots et je ne peux m’empêcher de le faire également, venant, dans un geste, l’accompagner pour retirer mon haut, frissonnant à chaque fois que ses mains touchent un peu de ma peau… Je m’enivre de cet instant et croyez-moi je n’ai pas envie d’annihiler ce moment.


@Jessy Voight  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990
black pumpkin
Revenir en haut Aller en bas
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
Jessy Voight
Jessy Voight
Messages : 304
RPs postés : 92
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 5b0x
Age : 39
Logement : - C'est ton mari qui avait eu un véritable coup de cœur pour la bâtisse. Certain qu'elle était la maison idéale pour vivre heureux et vieillir sereinement, il a fini par te convaincre. Aujourd'hui, cette maison est la seule chose qu'il te reste de lui, il vit à l'intérieur de ses murs à chaque fois que tu regardes autour de toi, tu le vois en train de bricoler les lieux pour que tout soit parfait et confortable. Tu ignores si tu vas vieillir dans cette maison, mais aujourd'hui, elle est ton foyer, le toit qui met ta fille Léa en sécurité et le quartier Walnut Creek est appréciable.
Occupation : - Autrefois, tu étais policière, mais le train-train de la vie de famille et la balle reçue lors d'une enquête on eut un effet direct sur ta carrière. Tu as choisi d'être une mère, une épouse à temps plein, mais aujourd'hui ta fille est grande, ton mari n'est plus, c'est pourquoi tu t'es reconverti en détective privé et tu excelles dans ton métier, ton ancienne carrière est un plus majeur, tu n'as rien perdu et ta détermination te pousse à aller jusqu'au bout même si pour cela, tu dois te faire des ennemis en chemin. Financièrement, tu n'es pas à plaindre tu t'en sors bien.
Avatar : La queen Katheryn Winnick
Crédits : En général, c'est Cynlis.
MC : Actuellement aucun, mais pourquoi pas dans quelque temps.
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
09.04.23 15:40
Après un long dimanche de travail...
 @Dylan Lewis  & Jessy Voight
Warning --> Décès, deuil.

♬ coup de coeur ---> Louane - Désolé
 - Tu aimerais avoir la capacité de stopper le temps simplement pour laisser vingt nouvelle année prendre place afin de vous laisser le temps de rattraper tout ce que vous avez loupé, mais tu n’en as pas la possibilité et lui non plus alors tout comme lui, tu sais parfaitement qu’il est impossible de rattraper ce temps précieux que vous avez perdu… Vous êtes passé à côté de tellement de chose qu’aujourd’hui tout ce que vous pouvez espérez, c’est que le temps qui s’offre à vous sera bénéfique, mais tu espères aussi que vous avez appris de vos leçon et que vous ne laisserez plus une timidité, un doute se mettre en travers de votre chemin.
Ce qu’il dit te fait sourire parce que cela est exactement ce qu’il faut faire ! Ne pas gâcher le temps qui vous est proposé même si celui-ci n’est que de courte durée parce que tu sais qu’il finira pas repartir pour reprendre sa véritable vie, une vie dans laquelle tu n’as jamais eu ta place.

<< Ne gâchons rien dans ce cas >>

Confirme-tu doucement avant de souligner que tu le connais parce que oui, il y a des bases qui ne change pas, il y a des évidences, des certitudes qui ne peuvent pas changer et toi, tu le connais Dylan, tu sais qui il était et tu es comme certaine de savoir qui il est devenu… Est-ce là simplement un ressenti, une sorte d’impression qui finira par te décevoir, tu n’en sais rien Jessy, mais tu sais que tu as l’impression de le connaître aussi bien qu'à l'époque. Il te pose une question qui reprend les termes exploités un peu plus haut puisque sa question est mine de rien ambiguë et qu’elle laisse ouverture à un chemin ambigu… Il ne perd pas de temps ou ne le gâche pas.

<< Qui te dit qu’il m’a un jour fait craquer ? >>


Bien sûr que tu craquais pour son sourire et pas seulement ! Tu craignais totalement pour lui, tu te voyais devenir Madame Dylan Lewis… Aussi folle tu étais, tu avais imaginer une vie toute lisse, toute tracé avec le brun. Une maison familiale située dans les quartiers anciens de la ville, ensemble vous auriez craqué pour une maison de caractère, traditionnelle, deux beau enfants, lui qui aurait aidé son père en parallèle de son métier en tant qu’artiste intermittent quelques choses du genre et toi, tu aurais été la mère parfaite, l’épouse parfaite… Un style de vie que tu as finalement presque suivi sans lui à tes côtés. Lui, il a choisi la compagnie d’un camarade de route puisque c’est William qui partage sa vie depuis des années, jalouse ? Cela serait totalement stupide, mais parfois les émotions n’ont pas de sens, ni même de contrôle alors quand tu l’entends dire qu’il a mal parler de toi à ce fameux William ta réaction est assez profonde et directe. Il garde son sérieux ce qui a le don de réellement pousser ta réaction à des retranchements peu plaisant, mais il finit par exploser de rire et ça vient du coeur tellement c’est intense comme rire, tu le regardes et ta moue s’accentue parce que tu t’es fait avoir comme une débutante.

Il ne regrette pas ce qu’il vient de faire et toi, tu as envie de lui en mettre une derrière les étiquettes, mais tu te retiens Jessy parce que finalement tu ris de toi-même, ta réaction fut si disproportionné que s’en ai hilarant seulement tu ne sais toujours pas ce qu’il a pu dire de toi à ce fameux William.
L’amusement s’évapore lorsque le sujet devient plus sérieux, vous parlez du groupe et de ce que vous êtes plus ou moins devenus, c’est un sujet qui a du sens et une touche de lourdeur puisque le jeune homme ne fait plus partie de ce groupe dans le fond… Bien qu’il aura toujours sa place dedans… Sur cette conversation sérieuse, vous continuez et c’est là où les choses deviennent plus intéressante à ton sens, il te demande l’impensable dans le fond, il te mets au défi et toi, tu te jures intérieurement que tu vas tout faire pour le sortir de cette routine monotone qui est la sienne parce que oui Jessy, tu as bien compris qu’il n’a rien d’autre que son métier dans la vie.

Une promesse dans laquelle tu t’engages, une promesse que tu entreprends directement puisque dans l’instant après avoir manger un morceau de beignet, parler de sucre et compagnie vos lèvres ses sont rencontré pour la première fois, elles aussi semblent avoir décider de ne pas perdre du temps, elles aussi semblent vouloir rattraper le temps perdu et tu ne peux pas leurs en vouloir.
Telle de douce caresse qui se découvre, vos lippes prennent le temps de ne pas franchir les gallons trop rapidement, c’est un retour dans le passé, un retour dans le futur que vous êtes en train de vivre puisque tu as conscience du temps écoulé, de ton âge, du sien, mais que tu as l’impression d’être de retour à l’âge de tes 18 ans.

Ses mains qui te demandent permission sont délicates, douces, innocentes, tu as l’impression de vivre le moment que tu as tant attendu, le moment que vous avez loupé autrefois, cette première fois, votre première fois. Il aurait dû être ton premier, c’est avec lui que tu aurais dû tout apprendre, tout découvrir et dans le fond, c’est ce que vous êtes en train de faire pourtant, il n’est pas ton premier Trévor lui a pris ce rôle, un rôle qu’il n’a pas désiré puisqu’il est partit. Tu finis par retirer ton propre haut comme une gamine pourrait le faire pour donner le droit à son partenaire de la regarder, de la découvrir, tu es quelque peu mal à l’aise dû à cette cicatrice que tu trouves horriblement vilaine, mais lui il trouve les mots, il réalise ton malaise et il prend les devants chose qui vient à te faire sourire. Doucement, c’est à ton tour de lui demander la permission pour son haut et il te l’a donné en retirant avec ton aide son haut, ton regard se pose que son torse et tu n’es pas déçu de ce que tu peux apercevoir, il fait bien plus homme qu’il ne l’était autrefois, loin est l’image que tu as de lui lors des moments piscines, il est bien plus viril, plus masculin et tu aimes ce que tu découvres pourtant ce n’est là qu’un simple torse, mais pour toi c’est bien plus, tellement plus.

Tes mains crève d’envie de se délecter de sa peau et la découverte t’appellent si bien que doucement tu poses tes mains sur son torse regardant la trajectoire qu’elle parcourt avant de remettre ton regard dans celui du brun, tu souris lui faisant comprendre que tu aimes ce que tu découvres, ce qui se passe entre vous, tu mordilles ta lèvre te rapprochant alors pour venir lui voler un baiser que tu prolonges finalement, tu presses ta poitrine contre son torse nu savourant cet instant de complicité, d’exploration, de première fois. Tu finis par lâcher ses lèvres, tu te redresses et doucement tu fais toi-même descendre les bretelles de ton soutien-gorge tout en le regardant droit dans les yeux, l’attache de celui-ci, c’est à lui de la défaire si toutefois, il en ressent l’envie.

Revenir en haut Aller en bas
Dylan Lewis
membre du mois
Dylan Lewis
Dylan Lewis
Messages : 485
RPs postés : 66
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 Jensen-ackles
Logement : Vit actuellement chez son père, dans le quartier sud de la ville. Le garage, quant à lui, se trouve au centre. Il y vit seul pour le moment, le temps que son père sorte du coma.
Occupation : Il chante depuis qu'il a environ 22 ans. Il a été découvert par son agent à ses 25 ans et a vraiment percé a ses 28 ans. Cela fait maintenant 10 qu'il est connu à travers le pays, voir le monde pour les plus grands fans de rock. Il passe sa vie sur la route. Cependant il va devoir reprendre les rênes du garage de son père ''Lewis&Son" depuis le coma de celui-ci...
Avatar : Jensen Ackles
Crédits : Neverland
Dylan Lewis
membre du mois
09.04.23 21:20

Je suis vraiment désolé...


C’est avec un véritable sourire que j'accueille la réponse de Jessy à ma phrase. Ne gâchons rien… Je pense qu’elle ne pouvait pas mieux conclure toute cette partie-là de notre discussion. Je ne compte plus rien gâcher et surtout ne plus laisser personne le faire. Ce magazine, cette « une » elle a failli tout foutre en l’air à peine retrouvés, mais finalement nous sommes plus forts que ça. Le trou béant de notre jeunesse envolé sans l’un et l’autre n’est pas assez grand, pas assez profond pour nous empêcher de sauter et de rattraper le temps qui est perdu. L’est-il seulement ? Je veux dire… Si nous mettons tout en œuvre, là, aujourd’hui, maintenant… Alors il est possible que non… Il n’est pas perdu, il a juste été retardé… Oui je crois que ce terme est plus joli, plus approprié. Jessy et moi n’avons rien perdu, on a juste été retarder… D’ailleurs, je ne peux m’empêcher de rire légèrement lorsqu’elle me demande comment puis-je être sur que mon sourire l’ait un jour fait craquer.

-Parce que tu me disais rarement non lorsque je le faisais et ça même quand tu avais très, trèèès envie de claquer des portes…

Référence encore une fois à notre jeunesse, à nos mimiques, à nous tout simplement. À cette conversation de retrouvaille et au fait que ouai… On aimait claquer des portes, que oui souvent je suis sûr qu’elle aurait aimé claquee ma tête aussi, sûrement oui et peut-être même encore plus lorsque je faisais ce genre de sourire, mais bon sang… Son petit air contrarié m’a toujours fait craquer ! Voilà pourquoi je le cherche aujourd’hui même, voilà pourquoi je la taquine, encore et encore. Surtout que là… Je semble avoir trouvé le bon angle : William. Sa moue s’accentue lorsque je ris, mais elle ne reste pas longtemps. De toute façon, elle est belle avec ou sans moue, même si j’avoue volontiers qu’elle est simplement craquante avec ! Elle ne cherche pas plus et je ne le fais pas non plus, on est déjà passé à autre chose… On est comme ça, il faut suivre la valse de nos retrouvailles. Regardez à gauche, nous sommes déjà à droite… On tourne, encore et encore, on change de sujet, on passe de l’un à l’autre… Et le plus important dans tout cela ? C’est que l’on se suit, on n’a pas la nausée de trop tourner… Au contraire !

Et hop ! On saute, on s’élance de tout notre corps, de toute notre âme vers ce voyage inconnu et pourtant tellement attendu. Les mots n’ont plus lieu d’être, William, le groupe, les regrets tout ça… On les laisse en arrière ! Vous savez… De l’autre côté de ce fameux gouffre ! Ici on est que tous les deux, on se retrouve, on se découvre… Nous ne sommes plus Jessica Voight, ni même Dylan Lewis le chanteur… Non on est juste Jessy et Dylan… Vous savez ces deux adolescents timides, presque trop pour leur propre bien… Mais cette fois une chose change dans leur histoire. Cette fois… Ils osent enfin... Voilà que nos lèvres se trouvent, s’épousent parfaitement, comme si elles avaient toujours été faites pour en être ainsi en réalité.

Les vêtements deviennent à présent comme une invention du diable, quelque chose de vraiment gênant, de trop et pourtant… Ils sont retirés délicatement et surtout avec une espèce de pudeur presque innocente, presque attendrissante… Comme si nous avions peur de nous brûler par ces tissus de trop sur nos deux corps. Tel un effeuillage lent et prenant son haut quitte son corps, le mien ne tarde pas à suivre, comme si eux aussi ne voulaient plus se quitter, comme si eux aussi avaient tout ce temps à rattraper, là, sur le sol, l’un sur l’autre… Je ne suis pas nu et pourtant sous son regard je me sens complètement démuni, sous ses mains je ne cesse de frémir. Elle revient me voler un baiser et j’y réponds avec un peu plus de ferveur, moins de timidité, mes mains remontent le long de son dos et c’est à cet instant qu’elle rompt le baiser, abaissant les bretelles de ce dernier bout de tissu, elle allume alors comme une étincelle dans mon regard. Peut-on être aussi belle juste par un geste ? Visiblement oui… Jessy semble avoir les clés de ce drôle de tour de magie, mais je peux avoir quelques tours dans ma manche également et en un mouvement de main l’attache de son soutien-gorge est dégrafé. Je reviens prendre possession de ses lèvres, collant enfin son corps, à moitié nu, contre le mien. Le baiser est plus fiévreux, nos langues viennent se retrouver plus rapidement. Mon corps se redresse légèrement, comme pour être d’avantage collé à elle et mes mains se retrouvent plus bas… Posés à présent sur ses fesses. Tout ça n’en est pas pour autant diaboliquement lent, mais oh combien « paradisiaquement » exquis.


@Jessy Voight  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990  Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 300600990
black pumpkin
Revenir en haut Aller en bas
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
Jessy Voight
Jessy Voight
Messages : 304
RPs postés : 92
Je suis vraiment désolé... (Jessy Voight) - Page 2 5b0x
Age : 39
Logement : - C'est ton mari qui avait eu un véritable coup de cœur pour la bâtisse. Certain qu'elle était la maison idéale pour vivre heureux et vieillir sereinement, il a fini par te convaincre. Aujourd'hui, cette maison est la seule chose qu'il te reste de lui, il vit à l'intérieur de ses murs à chaque fois que tu regardes autour de toi, tu le vois en train de bricoler les lieux pour que tout soit parfait et confortable. Tu ignores si tu vas vieillir dans cette maison, mais aujourd'hui, elle est ton foyer, le toit qui met ta fille Léa en sécurité et le quartier Walnut Creek est appréciable.
Occupation : - Autrefois, tu étais policière, mais le train-train de la vie de famille et la balle reçue lors d'une enquête on eut un effet direct sur ta carrière. Tu as choisi d'être une mère, une épouse à temps plein, mais aujourd'hui ta fille est grande, ton mari n'est plus, c'est pourquoi tu t'es reconverti en détective privé et tu excelles dans ton métier, ton ancienne carrière est un plus majeur, tu n'as rien perdu et ta détermination te pousse à aller jusqu'au bout même si pour cela, tu dois te faire des ennemis en chemin. Financièrement, tu n'es pas à plaindre tu t'en sors bien.
Avatar : La queen Katheryn Winnick
Crédits : En général, c'est Cynlis.
MC : Actuellement aucun, mais pourquoi pas dans quelque temps.
Jessy Voight
ma vie rime avec Blue Valley
09.04.23 22:11
Après un long dimanche de travail...
 @Dylan Lewis  & Jessy Voight
Warning --> Décès, deuil.

♬ coup de coeur ---> Louane - Désolé
 - -Parce que tu me disais rarement non lorsque je le faisais et ça même quand tu avais très, trèèès envie de claquer des portes… Tu le regardes en souriant sans rien dire, tu comprends que dans le fond il savait pertinemment que tu craquais pour lui autrement il n’aurait jamais pu voir ce genre de détail, des détails qui t’échappait, mais qui te frappe là maintenant qu’il en parle. Il savait au fond de lui que ton cœur lui était destiné, qu’il était ta faiblesse, mais il n’était pas prêt à y croire… Peut-être que le soucis était là en réalité, toi tu avais peur qu’il ne veuille pas de toi parce que tu manquais d’assurance, mais il était pareil que toi… La timidité n’est pas vraiment fautive quand tu y penses, c’est plutôt une histoire de confiance en soi, un problème d’âge, vous étiez trop jeune pour croire en vous.

<< Tu m’as toujours fait craquer… Ton sourire à toujours eu ce quelques choses de particulier >>

Toujours ! C’est le mot que tu emploi pour lui faire comprendre que c’est toujours le cas. Tu aimes la forme de sa bouche quand elle s’étire dans un rictus, les traits de son visage qui remontent jusqu'à ses pommettes pour laisser apparaître des rides à en devenir qui aujourd’hui sont belles et bien présentes. Sourire en coin, tu te mordilles le coin de ta lèvre inférieur avant d’entamer une nouvelle valse à mille temps, vous tournoyer, ni toi, ni lui êtes le meneur, vous laissez faire l’instant et vous tourner d’un sujet à un autre, le rythme est soutenue, vos langues virevoltes entre deux sujets, mais vous suivez le rythme comme deux partenaires de danse.

Ne rien gâcher, ne plus perdre de temps, deux résolutions qui ont du sens, un sens si profond que tu te retrouves à califourchon sur le brun, le haut en moins… Vous prenez vos résolutions bien au sérieux et ce n’est pas pour vous déplaire. Ce moment, tu l’as attendu toute ta vie si on peut dire, mais tu n’y croyais plus surtout tu ne pensais pas pouvoir le vivre comme tu le vis en ce moment… Loin d’être chaste, coincé, tu n’es pas du genre à prendre ton temps avec autant de… pudeur ? Tu n’es pas certaine que ce soit le mot idéale pour exprimer l’instant, mais tu as l’impression de vivre avec lui ce que tu aurais dû vivre, c'est-à-dire cette première fois, celle qu’on offre à son petit copain quand on est qu’une ado… Le moment que vous, vous offrez n’est rien d’autre que l’écho de votre passé, face à lui, tu es cette gamine de 18 ans qui n’avait d’yeux que pour lui, cette gamine qui ne voulait que lui et personne d’autre.

Doucement, tu fais glisser les bretelles de ton sous-vêtement tout en le regardant droit dans les yeux, tu la vois passer cette étincelle dans son regard, elle électrise tes iris, tu sens sa main remonter le long de ta colonne vertébrale et d’un doigter expert il détache ton soutien gorge sans difficulté, rien que cette action pourrait te ramener à la réalité et te rappeler que tu n’es plus cette gamine et qu’il n’est plus ce gamin sans véritable expérience, mais ça ne brise pas cette bulle, se cocon qui est à vous.

Vous avez besoin de vivre cet instant, tu le sens et tu ressens parfaitement que lui aussi en a besoin, est-ce pour un avenir meilleur ? Un futur uni ? Ce n’est pas ce qui compte pour le moment, rien de toute cela n’a d’importance en réalité Jessy tout ce qui compte, c’est l’instant. Il te colle contre lui et tu l’embrasses, ta poitrine nu se pose sur ton torse également nu, tu ressens la chaleur que son corps dégage, elle caresse ta peau, ta langue retrouvent la sienne, c’est bien plus fougueux, plus désireux de l’un et de l’autre pourtant ça reste sur cette nuance de découverte, cette touche d’exploration que tu n’as pas ressenti depuis… Ta toute première fois. Il se redresse afin de se coller d’avantage à toi, tu n’es pas contre ce rapprochement, tu sens ses mains se poser sur tes fesses et tu te dis que ce tissu présent sur ton corps est de trop. Lèvres contre les siennes, langue jouant avec sa jumelle tes mains descendent doucement sur la taille de son pantalon, tu arrives sur le bouton de celui-ci et tu le déboutonnes laissant ensuite remonter tes mains le long du torse du jeune homme.
Les paupières closent, l’instant est bouillant, foutrement céleste.


Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en hautPage 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2
Sujets similaires
-
» C'est vrai ou pas ? (Ft. Jessy Voight)
» “Tu es mon paradis, mais je suis peut-être ton enfer…” - AYLINE&BRYAN
» - Jessy Voight - Chaque personne qu'on s'autorise à aimer, est quelqu'un qu'on prend le risque de perdre.
» Beatriz Voight
» @Kelley-Voight.J

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Walnut Creek :: Domaine Clearwater-
Sauter vers: