(jessy&shayn) viens à la maison...

viens à la maison...

Ce midi, j'avais eu la surprise de voir Jessy débarqué dans mon bureau, avec des plats délicieux. Pour une surprise, c'était une belle surprise ! La présence de Jessy à mes côtés me plaisait de plus en plus et cette plaisance me chamboulait complétement. J'étais un peu perdu, face à l'attraction que Jessy exerçait sur moi, jamais je n'avais ressenti cela, il y avait de quoi me chambouler. Quand la belle blonde était dans les parages, elle me faisait tourner complétement la tête. Jessy et moi avions toujours plein de sujets de conversation, jamais nous ne restions à nous regarder dans le blanc des yeux. Nous avions parlé de ma fille, de Paris et elle s'était confié à moi sur les dettes de son mari, des dettes qu'elle payait encore aujourd'hui. Puis un petit champignon avait tout fait basculer, l'attraction entre nous, le désir de l'un et de l'autre était beaucoup trop fort. Nous étions comme deux aimants, incapables de ne pas être attiré l'un par l'autre. C'était tellement fort ce qu'il y avait entre nous, je ne crois pas au hasard, il n'y a pas de hasard. Nous étions peut-être juste destiné à ce que ça soit comme cela entre nous, il avait juste fallu, appuyer sur
l'interrupteur pour allumer cette passion et cette attraction incontrôlable.

Quand je franchis la porte de chez moi, j'attends la voix de ma fille, toute contente, qui dit "C'est mon papa !!" elle quitte la chaise où elle est assise et vient me sauter dans les bras. Je l'atrappe dans mes bras et je la sers contre moi. Elle passe ses petits bras autour de mon cou et me fait plein de bisous sur la joue et le font. Ses "attaques de bisous" comme elle aime appeler cela. Elle reste dans mes bras, pendant que parle avec Lisbeth de comment ça, c'est passé, tout s'était très bien passer, je suis heureux de l'apprendre, Linoa s'entends bien avec sa baby-sitter, c'est une bonne chose. Je libère la jeune fille, je lui souhaite une bonne soirée et je me retrouve en tête-à-tête avec ma fille. Elle me montre son dessin, elle dessine très bien, elle m'explique les choses qu'elle a dessinées, chacun de ses dessins raconte toute une histoire. Je prends le temps de dessiner un peu avec elle, puis viens le moment de la douche et de préparer le repas, J'avais acheté de quoi faire un risotto aux légumes. Je me débrouille plutôt bien avec cette recette et à côté, je fais à manger pour Linoa, le risotto, ce n'est pas son truc.

Après manger, Linoa va se laver les mains et les dents et nous redescendons dans le bas de la maison, elle me demande de lui jouer un peu de piano. Elle adore quand j'en joue et j'aime lui en jouer. Bien que j'avais décidé de ne pas aller à Juilliard, après le décès de mon père, j'aimais toujours autant le piano, je prenais toujours autant de plaisir à en jouer. Linoa est donc assise à côté de moi, elle a posé sa tête sur ma cuisse, son doudou à la main et le pouce dans la bouche, elle m'écoute très calmement jouer un air d'un compositeur classique très connu. Jouer me fait toujours du bien. J'entends alors sonner à la porte, je regarde l'heure, je n'avais pas trop vu le temps passer, Jessy était déjà là. Je ne peux m'empêcher de sourire, trop content de la voir ce soir. Je me lève du petit banc de piano et je vais ouvrir « Bonsoir » je suis tellement content de la voir. Linoa ne met pas longtemps à venir nous rejoindre et à sauté dans les bras de Jessy. Je laisse entrer Jessy dans la maison, je ferme la porte derrière elle et je préviens ma fille qu'il va être l'heure d'aller se coucher.  

@Jessy Voight           

viens à la maison...

Jessy m'avait vraiment fait une très belle surprise, venir comme cela, me rendre une vite pendant ma pause-déjeuner. C'est une véritable parenthèse dans ma journée de travail, une parenthèse de bonheur que seule la belle blonde pouvais me procurer. Elle avait apporté des plats délicieux et une bouteille de vin, elle me connaissait par cœur, elle savait ce que j'aimais et le faite qu'elle me connaissent autant me plaisait tellement. Nous avions beaucoup parlé, de tout et de rien, de Linoa et elle m'avait confié quelque chose de très important à propos d'elle. Les dettes de son mari, qu'elle devait aujourd'hui rembourser. Des révélation qui m'avait touché, car ça n'avait pas dû être facile pour elle et elle avait dû traverser cela toute seule. Je lui avais rappelé que j'étais là, elle pouvait compter sur moi, pour tout ce qu'elle voulait, elle savait aussi que je pouvais être le rocher sur qui elle pouvait se reposer. Pour elle, je pourrais tout faire, elle n'imaginait pas la place qu'elle avait dans ma vie.

Malgré le bonheur que m'avait procuré la présence de ma belle Jessy, j'étais resté sur une note très frustrante. Pas du tout à cause de Jessy, mais à cause de Kate et ses mauvaises manières ! Kate était une de mes secrétaires et elle avait fait irruption dans mon bureau, sans prendre la peine de vraiment être autorisé à entrer. Jessy était moi étions donc resté sur notre faim et pas seulement de nourriture. Bien sûr que j'avais été complétement frustré, mais pas le temps de ruminer sur ma frustration et sur une certaines partie de mon corps qui allait rester sur haute tension pour le reste de l'après-midi, j'avais eu du travail et beaucoup de travail, mais Jessy n'avait pas quitté mes pensées, elle occupait bien souvent mes pensées.

En rentrant chez moi ce soir, je retrouve Linoa, ma fille, ma princesse et quand elle me saute dans les bras, je l'accueil les bras ouverts pour lui faire plein de bisou. Ma fille, c'est toute ma vie, je ne savais pas qu'il était possible d'aimer autant. Je me souviens encore du jour de sa naissance, de la première fois où je l'avais eu dans mes bras, la sensation que j'avais ressentie, jamais de ma vie, je n'avais ressenti une telle émotion. Je souris au visage de Linoa, qui passe ses bras autour de mon cou et me fait une de ses fameuse attaque de bisous. Après avoir échangé à Lisbeth, je la libère de ses fonctions de baby-sitter et je profite des moments que je peux passer avec ma fille. C'est important pour moi de ne pas rentrer juste pour la mettre au lit, j'ai besoin de faire une petite activité avec elle, de m'asseoir avec elle quand elle manger, de l'écouter me parler de sa jourée. Partagé ce genre de moment simple, mais oh combien précieux à mes yeux. Puis après plusieurs activités, la douche, le diné et le brossage de dents, nous profitons d'un moment très calme, très serein. Je me pose au piano et je joue pour elle. Linoa qui est normalement une petite tornade, ce calme complétement quand je joue du piano.

L'heure tourne, sans que je m'en rende compte et bientôt quelqu'un frappe à la porte. Je regarde l'heure et mon visage s'illumine, ça ne peut être que Jessy, je n'attends qu'elle. Je me lève et je vais lui ouvrir, un sourire aux lèvres. « Vous ne vous êtes pas trompé d'adresse...j'espère que la dégustation sera à votre goût... » je lui fais un petit sourire. Certes, je l'avais vu ce midi, mais elle m'avait manqué. Ma fille arrive en courant, dès qu'il y a Jessy dans les parages, elle est folle de joie, il faut croire que Jessy à su conquérir les deux Weaver. Linoa lui saute dans les bras et Jessy à le droit à une attaque de bisous elle aussi. Jessy aime ma fille, quand je les vois ensemble, la complicité et l'amour qu'elles partagent toutes les deux, j'ai des papilllons dans le ventre. Les mots que Jessy utilise pour parler à ma fille, me touche en plein coeur. Linoa éclate de rire et se blottit contre Jessy quand cette dernière lui parle de son odeur de bébé.

Linoa raconte à Jessy toute sa journée, j'y avais eu le droit aussi et elle lui montre le piano en lui disant que j'avais joué pour elle. Jessy me demande alors 5 minutes avec Linoa, pour un moment entre filles. Linoa me dit alors "c'est que pour les filles papa" ma fille aime tellement Jessy, elle ne l'avait pas lâché depuis son arrivé, pas lâcher physiquement parlant. « Je vous laisse... » je souris et je les laisse toutes les deux. Je me rends à cuisine, afin de voir si tout va bien pour le repas de ce soir. Je ne sais pas ce que Jessy et ma fille se disent, mais en tout des cas Linoa est heureuse avec la présence de Jessy. Je sais que ma fille est très heureuse avec moi, mais Jessy lui apporte ce que je ne peux pas lui apporter, une présence maternelle. Je jette un peu coup d'œil et la scène que je vois m'attendrit, un sourire se dessine sur mes lèvres et je les laisse de nouveau toutes les deux. Tout va bien en cuisine, je pense que nous allons très bien manger. J'en profite pour ranger les quelques jouets de Linoa qui traînent et je les mets dans le coffre à jouets qui se trouve dans le salon.

@Jessy Voight           

viens à la maison...

Mon cœur palpite d'excitation et cela n'a rien n'à voir avec les palpitation d'excitation que l'on peu avoir avant un rapport sexuel, c'est simplement dû à l'effet que Jessy a sur moi. J'ouvre la porte à la jolie blonde, un sourire aux lèvres et après les salutations, nous commençons déjà à entrer dans un petit jeu. Un jeu de séduction, comme bien souvent quand nous sommes ensemble. Bien plus qu'un jeu, nous avions ce besoin de nous chercher de nous séduire encore et encore. « Et vous, vous savez que vous satisfaire est l'une de mes priorités, je serais donc ravi de tout faire pour vous combler de satisfaction... » Elle rentre dans la maison, nos regards ne se quittent pas et les sourires en coin que nous nous lançons sont tellement chargés en électricité, qu'encore une fois s'en est bouleversant.


À peine les portes de la maison franchis, que Linoa vient lui sauter dans les bras de Jessy. Jessy et Linoa partagent quelque chose de très beau, une complicité qui m'émeut à chaque fois que je les vois ensemble. Je peux répondre à tous les besoins de ma fille, j'ai dû apprendre à être à la fois le père et la mère et encore aujourd'hui, ce n'est pas facile. Mais malgré tous les efforts du monde, je ne pourrais jamais apporter cette touche maternelle et de féminité dont à besoin ma fille, mais heureusement pour elle, il y a Jessy. Jessy lui apporte cela, depuis quatre ans maintenant. Il est arrivé bien des fois que Linoa l'appelle "maman" et pas seulement pour dire le mot maman. Linoa voyait Jessy comme une maman et en même temps, il n'y avait rien d'étonnant à cela. D'ailleurs, Jessy me demande un instant rien qu'avec Linoa, un moment entre filles et Linoa qui rajoute son petit grain de sel, me disant clairement, que j'étais de trop. Je souris et je les laisse toutes les deux.

Je laisse donc les filles entrent elle et je vague à mes occupations. Je vais d'ailleurs surveiller le repas, hors de question que je laisse brûler mon risotto, je l'avais préparé avec soin. Il sera bientôt prêt, pas de catastrophe culinaire en vue. Je laisse le risotto à feu très doux et je range un peu la pièce, Linoa a beau être toute petite, c'est incroyable, après son passage la maison donne l'impression d'avoir accueillit une tornade ! Ma fille sème aussi ses jouets un peu partout dans le salon, bien qu'elle est une chambre, elle aime beaucoup jouer en bas et elle a beaucoup de jouets. Je la gâte peut-être un peu trop, mais je reste raisonnable. Bon d'accord, j'ai parfois du mal à lui dire non ! Surtout quand elle me regarde avec sa petite bouille, son petit sourire angélique et qu'elle me glisse un "stp papa" alors là, je fonds complétement. Je n'ai pas honte d'être parfaitement conscient que je suis un papa poule, c'est plus fort que moi. J'entends Linoa rire et parler tout doucement avec Jessy, je ne peux m'empêcher de sourire. Je ramasse un jouet sur lequel je viens de marcher et qui m'a fait mal au pied, un jouet tout gras.

Je sais que Linoa aime ce jouet et hors de question qu'elle monte cela dans sa chambre, dans cet état ! Il y a des traces de nourritures dessus. Je retourne donc dans la cuisine pour aller le nettoyer. Les mains dans l’évier, avec un peu d'eau chaud et du liquide vaisselle, je tombe de nettoyer ce jouet. J'entends la voix de Jessy, je tourne la tête vers la jolie blonde, sourire aux lèvres face à ce qu'elle vient de me dire à propos de ma fille. « Difficile de ne pas fondre... » es ce que je parle seulement de ma fille?

Je me remets dans le nettoyage du jouet, une tâche bien coriace !! Jessy s'approche de moi et me demandant de lui donner cela, elle a vu ma détresse face à ce jouet au fort caractère. Ses mains viennent alors rejoindre les miennes, pour prendre le jouet. Mais le contact de nos mains se prolonge un peu. Elles se caressent avec beaucoup de tendresse, une tendresse et un contact qui parcourt mon corps d'un doux courant électrique et d'une agréable chaleur. Nos regards se croisent, nos yeux se capturent et sont incapables de mettre fin à cette connexion. Ses lèvres m'attirent tel un aimant. Puis Linoa vient nous rejoindre, accrochant un de ses petits bras autour de la jambe de Jessy et l'autre autour de la mienne.  


@Jessy Voight           

viens à la maison...

Bien que j'avais vu Jessy ce midi et que nous nous étions envoyé des sms par la suite, j'étais ravi de la voir arriver chez moi, elle m'avait manqué. Je me rends compte que j'étais souvent en manque d'elle et c'est bien cela qui faisait que je me questionne sur nous. Il y a avait une véritable connexion entre elle et moi, une alchimie assez rare, une évidence frappante entre nous. Quand je lui ouvre la porte, sourire aux lèvres, un petit jeu s'installe entre nous, un petit jeu naturel et surtout un jeu de séduction. Je ne me demande plus depuis combien de temps, c'est comme ça entre nous, car cela fait un petit moment que nous ainsi l'un avec l'autre. Ce petit jeu génère ce courant électrique entre nous, un courant qui nous parcours à chaque fois que nous sommes ensemble. « Voilà qui met une certaine pression sur mes épaules, compter sur moi pour faire preuve d'une grande performance, afin d'être sûr de combler vos grandes exigence. » Je lui fais un sourire et je la laisse entrer dans la maison et le petit jeu prend fin, pour le moment, car ma fille était arrivée en courant vers Jessy et lui avait sauté dans les bras.

Jessy n'était pas seulement rentré dans ma vie, mais aussi dans celle de ma fille. Elle m'avait tout de suite aidé avec Linoa. Après la perte d'Emily, le rôle de papa solo n'avait pas été facile. S'il y a des choses que je savais très bien faire, il y a d'autres choses pour lesquelles c'était bien plus compliqué. Comme cette histoire de lait, je me souviens avoir été complétement perdu. Au fil du temps Jessy avait pris une place très spéciale dans le cœur de ma fille et dans le mien aussi, je dois bien le reconnaître. Bien que Jessy ne soit pas la maman de Linoa et que Linoa le savait parfaitement, entre elles, il y avait quand même une relation mère/fille. Quand je les vois ensemble, je me dis que pour elles aussi, c'est une évidence. Je crois que je ne remercierais jamais Jessy pour l'amour et le bonheur qu'elle apporte à ma fille.

Je laisse Linoa et Jessy ensemble, elles ont besoin d'un moment entre filles, comme régulièrement. Etant donc de trop, je vais donc vaguer à mes occupations. Entre le rangement des jouets de Linoa et la surveillance du diner, j'ai de quoi faire. J'entends Linoa rire, je jette un petit coup d'œil, j'aime quand Jessy est là et pas seulement pour moi, pour Linoa aussi. Jessy rend ma fille heureuse, avec moi, elle est heureuse aussi, cela ne fait aucun doute, mais Jessy lui apporte quelque chose de tellement important. Je regarde notre dîner, tout vas bien, nous allions bien manger et cette fois, nous n'allons pas faire brûler le dîner, du mois je l'espère. Je repense aux choses que la maîtresse m'a dites sur ma fille, c'est incroyable, je ne vois pas du tout la même petite fille à la maison. Ma fille aime l'école, mais j'aimerais vraiment savoir pourquoi tout ne se passe aussi bien à l'école.

Jessy vient me rejoindre dans la cuisine, adossé au plan de travail, elle me parle de Linoa, je me tourne vers la jolie blonde, un sourire aux lèvres. Ce qu'elle me dit sur Linoa me fait une petite boule de chaleur dans le cœur et me fait fondre, totalement fondre ! Je plonge mes yeux dans ceux de Jessy en lui disant qu'il est difficile de ne pas fondre pour Linoa, ma fille, c'est y faire ! Je ne peux m'empêcher de rire un peu quand elle me dit qu'elle fait fondre toute la ville, je reconnais que Linoa a un certain petit succès, en même temps avec sa petite bouille brune, ses petits yeux bleus et son sourire, difficile de ne pas craquer, moi, je craque tout le temps face à elle, mais je suis son père, donc pas étonnant. « Elle sait très bien jouer de son charme... » Je lui souris, ma fille est très douée pour cela, elle a ce charme naturel, elle est solaire, tout simplement.

Et encore une fois, Jessy vient à mon secours et cette fois-ci, c'est pour une tâche tenace sur l'un des jouets de Linoa. Ses mains viennent alors rejoindre les miennes et aussitôt, nous sommes parcourus par cette électricité que seul nous savons produire. Nos regards se capturent, nos mains se caressent et nous voilà plongées dans notre petite bulle de douceur. Jamais la sensation d'une peau sur ma mienne ne m'avait fait un tel effet ! La peau de Jessy rends la mienne complétement folle. Je me perds dans son regard, connecter à elle, une connexion que je n'avais jamais ressentie avec une autre personne. Cette connexion, c'était déclenché le jour où nous avions franchi un certain cap dans notre amitié, le jour où nous nous étions découverts intimement. Ce jour, nous avions créé une ligne électrique entre nous, une ligne tellement solide, qu'elle avait su résister à toutes les ondes puissantes que nous lui avions apporté. Elle et moi sommes toujours sur la même longueur d'onde.

Nous nous sommes rapprochées, encore une fois, sans même nous rendre compte. Il y a une telle attraction entre nous, une attraction incontrôlable, une attraction bien plus forte que nous. Mon corps tout entier est parcourus par un doux courant électrique de désir. Rien à voir avec un désir sexuel, j'ai juste envie de l'attirer contre moi, lui caresser tendrement le visage et de goûter ses lèvres tellement attractives. J'ai faim de ses lèvres, de la chaleur qu'elles produisent, du goût qu'elles ont sur les miennes. Linoa vient nous rejoindre en courant, entourant avec, l'un de ses bras une des cuisses de Jessy et avec l'autre bras, une de mes cuisses. Linoa nous regarde avec un grand sourire, et même une petite flamme dans les yeux. Je vois une petite moustache de chocolat sur le visage de Linoa, c'était donc cela les rires de tout à l'heure. Ma fille souris à Jessy et lui dit "Oui, merci Jessy" Je pose alors mon regard sur Jessy « J'aurais le droit d'y goûter moi aussi à tes pâtisseries ? » Linoa rigole et me dit que c'est pour le dessert.

Je prends ma fille dans les bras et elle me fait un bisou sur le font, tout en rigolant de la marque de chocolat qu'elle vient de me faire et elle fait la même avec Jessy. C'est un moment tellement agréable, nous rions, nous sommes heureux et vu comme cela, nous avons tous d'une famille. Je regarde alors ma fille, lui rappelant que maintenant elle va devoir aller au lit et se relaver les dents. Elle demande à ce que Jessy monte avec nous. Nous mentons donc tous les trois, direction la salle de bain où ma fille me demande de lui chanter la chanson des dents. Une chanson qui dure trois minutes, le temps de brossage de dent. Je m'assois donc sur le rebord de la baignoire et je lui chante la chanson des dents. Une fois le brossage de dent terminé, direction la chambre de Linoa. Linoa montre à Jessy son attrape-rêves, elle lui explique que c'est pour capturer les cauchemars, une solution que j'avais trouvé pour que Linoa accepte de dormir dans sa chambre. Après avoir fait un énorme câlin à Jessy et plein de bisous, Linoa se met au lit, sans oublier de me demander si elle pouvait quand même me rejoindre si elle avait trop peur dans la nuit, je lui souris et je lui dis que oui. Elle m'entoure de ses bras et me fait des bisous. Je lui en fais plein aussi à mon tour et elle rigole. Elle demande si Jessy peut lui raconter une histoire, une toute petite. Après que Jessy ait accepté, je souris « Je vais donc aller finir de préparer le repas. » j'embrasse ma fille, elle me dit qu'elle m'aime, comme tous les soirs « Je t'aime aussi mon coeur. »

Je retourne en bas, les histoires avec Linoa ne durent jamais très longtemps, car elle s'endort très vite, des fois après deux pages, il n'y a plus personne. Je mets la table, le diné va bientôt être prêt. Assis sur le banc du piano, je souris à Jessy quand je la vois arrivée « Je lui envie tellement cette capacité à s'endormir aussi rapidement. » Je pouvais parfois tourner pendant un long moment.        


@Jessy Voight           

viens à la maison...

En quatre ans, ma relation avec Jessy avait pris un chemin que ni l'un ni l'autre n'avaient prévu. Entre nous, jamais rien n'avait été calculé, jamais rien n'avait était prévu et ça nous était agréablement tombé dessus le jour où nous avions envisagé que notre amitié devienne plus extensible. Ce jour-là, nous n'étions même pas sûr que ça fonctionne entre nous, mais quand mes lèvres s'étaient posé sur les siennes, ça avait été comme une évidence. Nous nous étions laissé porter par le courant du désir qui nous avait envahit. Un courant puissant, incontrôlable et surréaliste. Quand j'étais avec Jessy, j'étais comme transporté dans un univers hors du temps, un univers que nous nous étions créé. Notre relation allait bien au-delà du "plan cul", ce terme n'était même plus approprié pour nous, tant nous avions franchis de barrière. Jessy fait naître en moi une sensation qu'aucune femme n'avait su faire naître, pas même pas femme. Le feu que nous avions allumé ensemble ne cessait de brûler et nous l'alimentions encore en encore, sans jamais vouloir qu'il ne perde de l'ampleur et sans jamais vouloir qu'il s'éteigne.

Elle n'a pas encore franchi le seuil de ma maison, que déjà nous sommes connecté, il n'a suffi que d'un regard pour alimenter cette envie et ce besoin de séduction. Un petit jeu s'installe entre nous, un jeu où nous créons nos propres règles. Un jeu qui me plaît, un jeu dont je ne me lasserais jamais. Il y a bien longtemps que Jessy m'a complétement séduit, mais j'aime la voir continuer de le faire. De mon côté, j'ai ce besoin et cette envie de séduire la personne qui me plaît, de la séduire encore et encore chaque jour que Dieu fait et Jessy me plaît. Je ne suis d'ailleurs pas le seul Weaver à être sous le charme de Jessy, la petite tornade qui vient de lui sauter dessus l'est tout autant. Je regarde ma fille s'accrocher au cou de Jessy, serrer ses petits bras autour d'elle et lui faire des bisous, une scène forte touchante, d'autant plus que Jessy lui rend cet amour. Bien rapidement, elles me demandes de les laisser rien que toutes les deux, choses que je fais.

Je laisse donc les filles entre elles et je trouve de quoi m'occuper. Je ne cherche pas à savoir ce que Jessy dit à Linoa, c'est leur moment à elles et ça ne me regarde pas. Je ne laisse pas n'importe qui avoir des secrets avec ma fille, mais Jessy n'est pas n'importe qui ! Elle est, comme une mère pour Linoa, oui, c'est ce à quoi leur relation ressemble, une relation mère/fille. Jessy était un soleil dans ma vie et sans celle de ma fille, elle nous rendait heureux, elle m'avait fait sortir des ténèbres qui m'avait envahit après la tragédie que j'avais vécu. Quand elle me rejoint dans la cuisine et que ses mains viennent rejoindre les miennes, je pose mon regard sur elle et mes yeux plonge directement dans l'océan profond des siens. Un simple contact de ses mains avec les miennes a suffi pour me mettre complétement en apesanteur. Maintenant, que nos regards se sont capturés, ils ne se quittent plus, mon corps entier est parcouru d'un doux courant électrique, ce moment partagé avec Jessy est apaisant et d'une incroyable douceur. Mes lèvres affichent un nouveau sourire face à ce qu'elle me dit, nos corps se rapprochent un peu plus, nos épaules se touchent et ses lèvres m'attirent aussi fort que l'attraction terrestre.

L'arrivé de Linoa éclate la bulle que Jessy et moi étions en train de créer, mais cela n'a pas l'air de nous poser de souci, car l'arrivé de ma fille, nous enveloppe dans une autre bulle. Une bulle qui n'appartient qu'à nous trois, une bulle tout aussi tendre. Nous rions face à la moustache en chocolat que Linoa a au-dessus des lèvres. Du coup, ma fille s'amuse à nous faire des bisous, afin que nous aussi ayant une petite marque de chocolat. Je prends Linoa dans mes bras et je demande à Jessy si j'allais avoir le droit aux pâtisseries qu'elle a apporté. Linoa me rappelle que c'est pour le dessert et Jessy me le confirme elle me dit cela avec un regard que je ne connais que trop bien, un regard pétillant de malice, un regard qui me plaît. Mes yeux ne quittent pas ceux de Jessy. « Il me tarde déjà d'être au dessert... »

Après ce tendre moment, nous voilà tous les trois à l'étage afin que Linoa puisse se laver les dents et aller se coucher. Nous nous rendons dans la salle de bain de Linoa et je m'assois sur le rebord de la baignoire, laissant ma fille prendre sa bosse à dent et le dentifrice. Elle me demande bien sûr la chanson des dents, donc je chante pour elle, pendant trois minutes, le temps du brossage. Une fois les dents lavées, elle essuie sa bouche, se lave les mains et nous filons dans la chambre. Linoa saute jusqu'à son lit, elle a beaucoup d'énergie, mais le plus drôle, c'est qu'une fois couché, toute cette énergie s'évaporer et elle s'endors très rapidement. Linoa demande à ce que ce soit, Jessy qui raconte l'histoire, je n'ai rien contre, je vais donc faire des bisous de bonne nuit à ma fille et une fois de plus, je laisse les filles ensemble. Avant de quitter la chambre de Linoa, je n'oublie pas d'activer sa veilleuse, des étoiles qui tournent sur le plafond.

Jessy me rejoint quelques minutes plus tard. Si certains enfants ont du mal à s'endormir, ce n'est pas du tout le cas de Linoa. Elle s'endort toujours très rapidement, je me dis qu'elle en a de la chance ! Il m'arrive parfois de tourner pendant des heures dans mon lit avant de trouver enfin le sommeil. Je souris à la jolie blonde qui vient s'asseoir à mes côtés sur le banc du piano. « Oh oui, c'est même incroyable, toutes les choses qu'ils font et toute l'énergie qu'ils sont capables de dépenser. » Après sa journée d'école, il n'est pas rare que j'emmène Linoa au parc, Lisbeth le fait aussi et elle peut y jouer un long moment, à courir, sauté et grimper. Jessy me demande alors de lui jouer quelque chose au piano, je ne là lâche pas du regard. « Pour toi, avec plaisir... » Je joue du piano depuis des années, je devais avoir l'âge de Linoa quand j'ai touché les touches d'un piano pour la première fois. J'étais très doué, je le suis toujours, je n'ai pas perdu la main. Quand j'étais au lycée, je jouais plusieurs heures par jours et quand j'ai préparé mon audition pour Juilliard, je pouvais même y passer mes nuits. Juilliard demandait de jouer une œuvre qui existe et une œuvre de notre création. Mes mains se posent sur le piano et je me mets à jouer. Quand je joue, je plonge complétement dans la musique et comme dans tous les domaines que j'aime, je ne fais pas dans la demi-mesure, je m'y perds corps et âme.


@Jessy Voight           

viens à la maison...

Alors bien entendu, elle n'était pas la mère de ma fille, elle n'était pas ma femme, nous n'étions pas amoureux l'un et de l'autre, mais nous avions des sentiments l'un pour l'autre, des sentiments qui allaient bien au-delà de l'amitié, des sentiments qui allait bien au-delà de nos parties de jambes en l'air. Après la mort d'Emily et malgré la présence de ma fille, il y avait eu un terrible vide en moi, un vide que je pensais ne jamais pouvoir combler de nouveaux jours, mais Jessy avait débarqué dans ma vie ! Avec elle, j'avais appris à être de nouveau heureux, d'une certaine manière, elle avait un peu pris la place d'Emily et pas seulement auprès de moi, mais auprès de ma fille également. Alors bien entendu, elle n'était pas la mère de ma fille, elle n'était pas ma femme, nous n'étions pas amoureux l'un et de l'autre, mais nous avions des sentiments l'un pour l'autre, des sentiments qui allaient bien au-delà de l'amitié, des sentiments qui allait bien au-delà de nos parties de jambes en l'air. Nous avions besoin de l'un et de l'autre pour être heureux. Nous nous complétions, nous nous comprenions et ma vie sans elle n'aurait plus la même saveur, une saveur que seule Jessy pouvait m'apporter.

Alors que je suis dans la cuisine, je ne peux m'empêcher de poser mon regard sur le joli tableau qui s'offre à moi, un moment de complicité entre Linoa et Jessy. Loin de moi l'idée de vouloir savoir ce qu'elles se disent, mais le tableau et tellement mignon, que je suis "obligé" d'y jeter un petit coup d'œil, avant de vaguer à mes occupations. Après plusieurs minutes, Jessy vient me rejoindre dans la cuisine et très rapidement l'alchimie naturelle qu'il y a entre elle et moi nous rattrapent. Ses mains touchent les miennes et ce simple contact m'apporte des frissons partout dans le corps, une douce chaleur, un courant électrique qui se déclenche dès que Jessy pose ses yeux sur moi ou dès que nous nous effleurons. Jamais aucune femme n'avait su faire naître cette sensation en moi. Je ne quitte pas Jessy des yeux, et même si cette sensation se produit à chaque fois qu'elle est près de moi, je savoure toujours ce moment que je trouve fort agréable.

L'arrivée de Linoa laisse place à une autre ambiance, une atmosphère tout aussi agréable et tout aussi chaleureuse. Nous profitons tout simplement de la joie de nous retrouver tous les trois, du plaisir d'un moment partager, d'un moment de bonheur en famille, voilà à quoi cela ressemble. À cet instant, je me sens tellement heureux, je me dis que je n'ai besoin de rien d'autre dans ma vie, tout le bonheur est là ! Je prends Linoa dans mes bras et ma fille s'amuse à nous faire des bisous, des bisous qui nous laisse des traces de chocolat sur le visage, une petite blague qui l'a fait bien rire, qui nous fais bien rire.

L'heure du coucher arrive et Linoa demande à ce que ce soit, Jessy qui lui raconte l'histoire, donc après avoir fait plein de bisous à ma fille et lui avoir souhaité une bonne nuit, je laisse Jessy lui raconter une histoire, ce n'est pas du tout la première fois qu'elle le fait. Je les laisse de nouveau entre filles et moi, je redescends. Je vais surveiller le dîner, qui poursuit tranquillement sa cuisson, nous allions nous régaler. Je me dirige vers le piano et je m'assois sur le banc. Jessy arrive peu de temps après et s'installe à côté de moi. Elle me demande de lui jouer quelque chose, je pose mon regard sur elle et avec un sourire que je dis que pour elle, c'est toujours avec plaisir.

Je commence alors à jouer et comme toujours, quand je joue, je m'enferme dans mon petit monde, dans ma bulle, mais cette fois si, je ne m'enferme pas seul, j'embarque Jessy avec moi. Je laisse mes doigts parcourir le piano, profitant tout simplement de l'instant présent. Un moment simple, mais un moment combien beau à mes yeux. Je ferme les yeux quelques instants, me laissant porter par la musique et la douce présence de Jessy à côté de moi. Je la sens se lever, mais je ne m'arrête pas de jouer. Elle vient se placer derrière moi, faisant glisser ses mains le long de mon torse et malgré les frissons que cela me procure, je ne perds aucune note. Je savoure le contact de Jessy et mêler à la musique, rends le moment encore plus beau à mes yeux. Le compliment qu'elle me murmure au creux de l'oreille, ne fait que rendre le moment que nous sommes en train de vivre encore plus beau et plus fort, il est dégagé une telle tendresse, une tendresse dont je ne pourrais jamais me laisser.

Alors que je joue la dernière note, Jessy me dit "J'aime quand tu joues", mes mains quittent le piano et viennent se poser sur les siennes « Et moi, je ne me lasserais jamais de jouer pour toi... » J'attrape doucement l'une de ses mains et je dépose un tendre bisou dessus, avant de me retourner et de me retrouver face à elle.

Je la regarde et doucement, je l'attire vers moi, si bien, qu'elle se retrouve assise sur moi. Je pose ma main sur sa joue et tout doucement, avec mon pouce, je lui caresse tendrement la joue, c'est fou ce que j'aime sa présence. « Je vous trouve magnifique Jessy Voight... »   


@Jessy Voight           

viens à la maison...

Voir Jessy chez moi, la voir interagir avec ma fille et la voir si à l'aise chez moi ne me choquait pas du tout, elle était ici comme chez elle. Elle était venue ici de si nombreuses fois, que ce soit pour s'occuper de ma fille, pour passer une soirée avec moi ou même passer du temps avec nous deux. Sa présence dans ma maison avait été un peu bizarre au début, surtout quand je l'avais vu la première fois, avec Linoa dans mes bras, assise sur le canapé en train de lui donner le biberon du soir. J'avais perdu ma femme depuis quelques semaines et Linoa avait comme un besoin de sentir une maman, elle pleurait beaucoup. Un soir, j'étais rentré du travail et j'avais vu ma fille tellement apaiser dans les bras de Jessy, le tableau qui s'était offert à moi m'avait tellement ému quand j'en avais eu les larmes aux yeux. Ce tableau m'avait aussi ramené des semaines en arrière, quand Emily était encore là, car c'est exactement la place qu'elle prenait quand elle donnait le sein à Linoa.

Si Jessy se sentait bien chez moi, je me sentais bien chez elle aussi, moi aussi, j'en avais passé du temps là-bas. Des moments passés avec Jessy, de très bon moment, même quand nous ne faisions que parler tranquillement dans son jardin. J'étais venu faire de nombreux travaux aussi, je dépannais Jessy dès qu'elle en avait besoin, merci à mon père d'avoir fait de moi un manuel. J'avais aussi bien souvent gardé Léa, qui avait 13 ans à l'époque. J'avais aussi aidé Jessy dans l'éducation de cette dernière. Je me souviens d'une fois où Léa été rentré du collège et s'était enfermé dans sa chambre, elle n'avait accepté de ne parler qu'à moi. Elle avait un projet pour l'école à faire avec son père, mais son papa n'était plus là, j'avais fini par le faire avec elle.

Alors que je suis assis sur le banc du piano, tous ses souvenirs me reviennent, des souvenirs tellement heureux, des souvenirs que je n'avais pas du tout envie de classés dans la case souvenir. Je ne savais pas du tout où j'en étais dans mes sentiments, mais j'étais sûr d'une chose, je me sentais bien avec Jessy, je me sentais heureux avec cette femme. J'étais tellement heureux et à ma place avec elle, que je pourrais me sentir coupable d'être aussi bien avec une autre femme qu'Emily. Rapidement, je chasse ce sentiment de culpabilité, je n'avais pas envie de me sentir coupable d'être heureux.

Jessy vient me rejoindre et je commence à jouer au piano, pour elle et rien que pour elle. Je me laisse complétement emporté par la musique, comme à chaque fois que je joue du piano. Je me sens tellement apaisé et calme quand je joue et encore plus quand Jessy est à mes côtés. Alors qu'elle se lève et qu'elle vient se positionner derrière moi, je ferme les yeux, savourant le contact de Jessy, me perdant complétement dans la musique et ce doux contact qui m'électrise de la tête au pied. Un contact chaleureux, cette douce chaleur, je ne l'avais pas ressenti depuis longtemps. Quand je termine de jouer, mes mains quittent les touches du piano et viennent sur celle de Jessy. Je caresse ses mains, puis de dépose des baisers dessus, de tendre petit bisous, avant de me retourner et de me retrouver face à elle. Doucement, je l'attire contre moi et elle finit assise sur mes genoux. Une de mes mains vient tendrement se poser sur ma joue et mon pouce exerce des petites caresses. Mon regard de quitte plus les magnifiques yeux bleus de Jessy et je lui dis combien je la trouve belle, ce n'est pas un compliment en l'air, je la trouve véritablement sublime. Mes lèvres affichent doucement un sourire face à ce que Jessy me dit. « Jessy Kelley... » Je ne connaissais pas son nom de jeune fille. « ...j'aime beaucoup. » Mes lèvres viennent tendrement déposer un bisou dans son cou. « Je vous trouve encore plus magnifique Jessy Kelley... »

Nous profitons vraiment de ce moment de tendresse, je lui souris quand elle me dit "je peux en dire autant de toi" j'aime qu'elle me trouve beau, qu'elle me trouve attirant et à son goût, bon sang que j'aime cela ! Je me rapproche un peu d'elle et mes lèvres capturent tendrement les siennes. Un bisou qui ne cherche pas à aller plus loin, bien qu'un simple regard de Jessy chamboule tout mon corps, mais ce bisou, j'en avais juste envie, juste besoin, il est tendre et sincère. Quand mes lèvres se détachent des siennes, je dis alors à Jessy « Tu as faim? »  


@Jessy Voight